Pol. 1985. Drame de Krzysztof Kieslowski avec Grazyna Szapolowska, Aleksander Bardini, Jerzy Radziwilowicz. En 1982, les expériences douloureuses de l'épouse d'un avocat, mort subitement alors qu'il s'apprêtait à défendre un ouvrier accusé d'avoir organisé une grève illégale. Illustration allégorique du désespoir du peuple polonais sous la loi martiale. Récit empruntant le point de vue du défunt. Réalisation précise, maîtrisée. Forte interprétation.
En 1982, les expériences douloureuses de l'épouse d'un avocat, mort subitement alors qu'il s'apprêtait à défendre un ouvrier accusé d'avoir organisé une grève illégale. Illustration allégorique du désespoir du peuple polonais sous la loi martiale. Récit empruntant le point de vue du défunt. Réalisation précise, maîtrisée. Forte interprétation.
Auteur inconnu - Variety
Krzysztof Kieslowski's NO END scores as the most important film made in Poland since the imposition of martial law in December 1981. As the title indicates, this is an allegorical tale of life in Poland in the crucial year of 1982.
(Texte paru en 1985)
Krzysztof Kieslowski - La Libre Belgique
"L'avocat défunt représente la mort de l'indépendance, de la dignité, de la liberté et de la justice qui étaient incarnées dans [Solidarnosc]. [Ce] mouvement (...) était un mouvement de la nation toute entière, qui avait donc à la fois des aspects positifs et négatifs. Je ne représente pas [Solidarnosc] dans ce film."
(Texte paru en 1985)
Jerry Tallmer - New York Post
(...) there is too much in NO END that is not explained, or not explained well, or that's sheer confounding. (...) NO END bites off more than it can chew - or several indigestible mouthfuls anyway.
(Texte paru en 1986)
Marie-Noëlle Tranchant - ROC
La peinture psychologique et sociale est juste et prenante. Beaucoup de gros plans nous font entrer dans l'intimité d'êtres désemparés, dans un monde oppressant et secret. La caméra cependant est parfois inutilement lourde.
(Texte paru en 1988)
Vincent Canby - The New York Times
The film's politics and glimpses into daily life under martial law are far more involving than the personal drama. All of the performances are good, including Grazyna Szapolowska, (...) Jerzy Radziwilowicz (...) and especially Aleksander Bardini.
(Texte paru en 1986)