Pour toujours (Always)

Name: Pour toujours
Director: Henry Jaglom
Genre: Comédie dramatique
Duration: 105 min.

É.-U. 1985. Comédie dramatique de Henry Jaglom avec Henry Jaglom, Patrice Townsend, Joanna Frank. Un couple séparé depuis deux ans est temporairement réuni la veille de la fête de l'indépendance américaine. Vision critique d'un échec conjugal. Ton d'ironie mélancolique. Réussite sympathique en dépit de quelques répétitions. Spontanéité appréciable de l'interprétation.

Pour toujours (Always)

Général

É.-U. 1985. Comédie dramatique de Henry Jaglom avec Henry Jaglom, Patrice Townsend, Joanna Frank.

Un couple séparé depuis deux ans est temporairement réuni la veille de la fête de l'indépendance américaine. Vision critique d'un échec conjugal. Ton d'ironie mélancolique. Réussite sympathique en dépit de quelques répétitions. Spontanéité appréciable de l'interprétation.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1985

Durée :

105 min.

Réalisation :

Henry Jaglom

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Henry Jaglom
Patrice Townsend
Joanna Frank

Judy et David sont séparés depuis deux ans. En cette veille de la fête de l'Indépendance américaine, Judy rejoint David qui a convoqué un notaire pour les dernières formalités d'un divorce à l'amiable. Mais David rêve toujours de reconquérir son ex-épouse. Il la garde à dîner puis trouve moyen de lui faire passer la nuit chez lui. Le lendemain, des parents et amis se réunissent chez David pour la fête nationale. On cause d'amour et de mariage, alors que David fait une dernière tentative pour amener Judy à reprendre la vie conjugale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant de son propre échec conjugal, le cinéaste Henry Jaglom a conçu une comédie douce-amère sur le sujet du divorce tout en convainquant son ex-épouse Patrice Townsend de participer à l'entreprise. Il en résulte une sorte de psychodrame où diverses scènes apparaissent soumises au jeu de l'improvisation. Un ton d'ironie mélancolique règne sur l'ensemble et diverses répliques se révèlent d'une drôlerie irrésistible. Dans le genre cinéma subjectif, il s'agit là d'une réussite sympathique en dépit de quelques répétitions et hésitations passagères. L'interprétation est d'une spontanéité appréciable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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