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Paulette, la pauvre petite milliardaire

Fr. 1985. Comédie de Claude Confortès avec Jeanne Marine, Catherine Leprince, Roland Blanche. À la mort de ses riche parents, une jeune fille prend en main les affaires de sa famille et se met à distribuer son argent aux miséreux. Adaptation simpliste de BD de Georges Wolinski et Georges Pichard. Récit non fidèle aux oeuvres originales. Mise en scène sans invention. Jeanne Marine jolie mais peu convaincante.

13 ans +
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Paulette, la pauvre petite milliardaire (Paulette, la pauvre petite milliardaire)

13 ans + 13 ans +

Fr. 1985. Comédie de Claude Confortès avec Jeanne Marine, Catherine Leprince, Roland Blanche.

À la mort de ses riche parents, une jeune fille prend en main les affaires de sa famille et se met à distribuer son argent aux miséreux. Adaptation simpliste de BD de Georges Wolinski et Georges Pichard. Récit non fidèle aux oeuvres originales. Mise en scène sans invention. Jeanne Marine jolie mais peu convaincante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Claude Confortès
D'après l'oeuvre de Georges Wolinski
D'après l'oeuvre de Georges Pichard
Photographie :
Musique :
Victime d'un enlèvement, la jolie Paulette Gulderbilt est épargnée par l'un de ses ravisseurs qui devait la tuer et qui la confie plutôt à un vieil ermite, Joseph. Paulette découvre que ce Joseph est une jeune fille qui vit sous un tel déguisement pour échapper aux hommes. Apprenant la mort de ses parents, Paulette prend en main les affaires de sa famille et son bon coeur la pousse à distribuer son argent aux miséreux. Le vil Albert-Henri, administrateur de la fortune des Gulderbilt, fait interner Paulette dans un hôpital psychiatrique d'où elle s'évade. Joseph la retrouve chez des bateliers qui l'ont recueillie et, avec son aide, Paulette imagine une vengeance.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après LE ROI DES CONS et VIVE LES FEMMES!, Claude Confortès persiste dans l'adaptation à l'écran de bandes dessinées dites "pour adultes". Dans le cas présent, il s'est contenté de choisir, dans une saga polissonne de plusieurs albums, une suite d'anecdotes qu'il a transposées de façon simpliste. Le résultat manque de lien et de véritable invention et l'adaptation n'est même pas fidèle au ton dérisoire de l'original. Jeanne Marine est jolie, mais joue la fausse candide avec plus de bonne volonté que d'abattage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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