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Mon cousin américain (My American Cousin)

Can. 1985. Comédie dramatique de Sandy Wilson avec Margret Langrick, John Wildman, Richard Donat. Au début de l'été 1959, une adolescente trouve sa vie ennuyeuse jusqu'au jour où survient son cousin de Californie. Heureux mélange de gentillesse, de nostalgie et de sens du pittoresque. Rythme dégagé. Touches d'un humour discret. Interprétation juste et naturelle.

Général
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Mon cousin américain (My American Cousin)

Général Général

Can. 1985. Comédie dramatique de Sandy Wilson avec Margret Langrick, John Wildman, Richard Donat.

Au début de l'été 1959, une adolescente trouve sa vie ennuyeuse jusqu'au jour où survient son cousin de Californie. Heureux mélange de gentillesse, de nostalgie et de sens du pittoresque. Rythme dégagé. Touches d'un humour discret. Interprétation juste et naturelle.

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En 1959, Sandra Wilcox a douze ans et trouve sa vie d'une banalité décourageante. Voici qu'au début de l'été survient son cousin Butch de Californie. C'est un bel adolescent blond qui arrive au volant d'une Cadillac rouge décapotable et qui traîne avec lui les allures d'une jeunesse délurée vivant au rythme du rock'n'roll. Sandra accompagne Butch dans ses randonnées en voiture et est témoin de ses tentatives sentimentales auprès des adolescentes du coin. Butch conte surtout fleurette à la jolie Shirley qui est pratiquement fiancée à Lenny, le leader des jeunes du village. Mais les parents de Butch annoncent leur visite pour venir chercher leur fils fugueur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il semble que la jeune réalisatrice Sandy Wilson ait voulu évoquer des souvenirs personnels dans son premier film de long métrage. Elle l'a fait d'ailleurs avec un heureux mélange de gentillesse, de nostalgie et de sens du pittoresque. Nul doute qu'elle n'ait un peu beaucoup enjolivé ses réminiscences fragiles, mais l'ensemble n'en est que plus charmant et coloré. Le récit se déroule à un rythme dégagé, jamais pressé, et des touches d'un humour discret viennent finement égayer l'ensemble. La jeune Margaret Langrick exprime avec justesse et naturel toutes les nuances de son rôle.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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