Lost In America

Name: Lost In America
Director: Albert Brooks
Genre: Comédie
Duration: 91 min.

É.-U. 1985. Comédie de Albert Brooks avec Albert Brooks, Julie Hagerty, Garry Marshall. Les aventures d'un publicitaire qui quitte son emploi et convainc sa femme de partir sur les routes à la recherche de l'Amérique et d'eux-mêmes. Etude de milieu. Critique intelligente ponctuée d'humour et de bouffonnerie. Réalisation de métier. Interprétation vivante d'A. Brooks.

Lost In America (Lost In America)

Général

É.-U. 1985. Comédie de Albert Brooks avec Albert Brooks, Julie Hagerty, Garry Marshall.

Les aventures d'un publicitaire qui quitte son emploi et convainc sa femme de partir sur les routes à la recherche de l'Amérique et d'eux-mêmes. Etude de milieu. Critique intelligente ponctuée d'humour et de bouffonnerie. Réalisation de métier. Interprétation vivante d'A. Brooks.

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Genre :

Comédie

Année :

1985

Durée :

91 min.

Réalisation :

Albert Brooks

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Albert Brooks
Julie Hagerty
Garry Marshall

N'ayant pas obtenu la promotion qu'il souhaitait, David Howard, publicitaire de Los Angeles, quitte son emploi et convainc sa femme Linda de partir sur les routes à la recherche de l'Amérique (et d'eux-mêmes). L'aventure de ces drop-out de luxe connaît un premier obstacle de taille à Las Vegas lorsque Linda, à l'insu de son mari, perd à la roulette tout leur avoir. Après avoir failli se séparer, les deux époux se retrouvent dans une petite ville de l'Arizona où ils tentent de refaire leur vie en acceptant des emplois mineurs. À la suite de diverses déceptions, David et Linda décident de gagner New York au plus vite pour que l'homme puisse retrouver un poste à l'agence où il travaillait.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Proposant une satire amusante d'un rêve d'évasion à l'américaine, le réalisateur nourrit son récit d'observations caustiques sur divers attributs ou tendances de la classe moyenne. La critique est intelligemment présentée et l'humour qui baigne l'ensemble est généralement assez subtil. On pense à Woody Allen par moments, mais Brooks a son style propre, fait de retenue subtile et de bouffonnerie contrôlée. Ses coups d'épingles dégonflent des illusions et le film s'achève dans une acceptation légèrement cynique des exigences pratiques d'une société de rendement. L'auteur joue lui-même avec verve le rôle principal et est finement soutenu par sa partenaire.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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