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Les Débiles de l'espace (Morons from Outer Space)

G.-B. 1985. Comédie fantaisiste de Michael Hodges avec Mel Smith, Griff Rhys Jones, Jeanne Pearce. Après avoir égaré leur compagnon dans l'espace, trois extraterrestres se posent en Angleterre où ils deviennent des vedettes médiatiques. Idée de base valable mais mal exploitée. Grosse farce aux gags lourds. Progression dramatique échevelée. Personnages grotesques. Technique passable. Interprétation agitée.

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Les Débiles de l'espace (Morons from Outer Space)

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G.-B. 1985. Comédie fantaisiste de Michael Hodges avec Mel Smith, Griff Rhys Jones, Jeanne Pearce.

Après avoir égaré leur compagnon dans l'espace, trois extraterrestres se posent en Angleterre où ils deviennent des vedettes médiatiques. Idée de base valable mais mal exploitée. Grosse farce aux gags lourds. Progression dramatique échevelée. Personnages grotesques. Technique passable. Interprétation agitée.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Universal
Quatre habitants moyens de la planète Blob sont en excursion dans l'espace. Alors que l'un d'eux, Bernard, tente une sortie hors de leur spationef, une fausse manoeuvre d'un de ses compagnons lance l'appareil vers la Terre. Le vaisseau se pose sur une route en Angleterre où l'arrivée des extra-terrestres cause tout un émoi. Après avoir été traités de façon hostile, les visiteurs de l'espace deviennent des vedettes des médias. Pendant ce temps, Bernard, qui a été rescapé par un patrouilleur, aboutit en Amérique et a toutes les peines du monde à rejoindre ses camarades.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'idée de base, celle de présenter des extra-terrestres aussi bornés et paumés que bien des citoyens ordinaires de la planète Terre, en valait une autre, mais son exploitation fait vite long feu. Après quelques détails amusants en ouverture, le traitement prend l'allure d'une grosse farce dans le style des CARRY ON... avec des gags d'une lourdeur pachydermique et une progression dramatique échevelée. Les effets techniques sont acceptables, mais l'invention comique manque carrément d'esprit de finesse. Les comédiens se cantonnent dans l'animation de pantins grotesques.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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