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Le Roi David (King David)

G.-B. 1985. Drame biblique de Bruce Beresford avec Richard Gere, Edward Woodward, Jack Klaff. Les aventures du jeune berger David qui tua le géant Goliath et devint roi d'Israël après de nombreuses batailles. Contexte historique vraisemblable. Illustration appliquée des textes sacrés. Peu de soucis de réinterprétation dramatique. Dialogues peu convaincants. Jeu manquant de nuances de R. Gere.

13 ans +
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Le Roi David (King David)

13 ans + 13 ans +

G.-B. 1985. Drame biblique de Bruce Beresford avec Richard Gere, Edward Woodward, Jack Klaff.

Les aventures du jeune berger David qui tua le géant Goliath et devint roi d'Israël après de nombreuses batailles. Contexte historique vraisemblable. Illustration appliquée des textes sacrés. Peu de soucis de réinterprétation dramatique. Dialogues peu convaincants. Jeu manquant de nuances de R. Gere.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Paramount
Le prophète Samuel signifie à Saul, roi d'Israël, qu'il a perdu la faveur du Seigneur et il oint en secret le jeune berger David pour le remplacer. Après avoir occis le géant philistin Goliath, David gagne la bienveillance de Saul qui fait de lui son gendre et son chef de guerre. Mais Saül, jaloux des succès militaires de David, en vient à le chasser. Saül meurt au cours d'un affrontement avec les Philistins et David lui succède sur le trône. Son projet de loger l'Arche d'Alliance dans un temple magnifique est compromis aux yeux de Dieu par sa liaison avec Bethsabée, l'épouse d'un de ses guerriers.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On aurait espéré que Beresford, réalisateur australien de flatteuse renommée, renouvelât considérablement la tradition du spectacle biblique. Il faut reconnaître qu'il y a dans son film un effort notable pour situer le sujet dans un contexte historique vraisemblable; la dureté des moeurs et l'importance relative des luttes tribales de l'époque sont assez bien suggérées. Mais le récit se résume à une illustration appliquée des textes sacrés sans souci véritable de réinterprétation dramatique. Le réalisateur semble d'ailleurs plus à l'aise dans les scènes de combat que dans les affrontements verbaux qui n'apparaissent pas toujours convaincants. Malgré sa prestance, Richard Gère n'a pas les nuances voulues pour imposer vraiment son personnage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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