Remarquable

Le Bonheur a encore frappé

Name: Bonheur a encore frappé, Le
Director: Jean-Luc Trotignon
Genre: Comédie
Duration: 80 min.

Fr. 1985. Comédie de Jean-Luc Trotignon avec Jean-Luc Bideau, Michèle Brousse, Jean-Noël Brouté. La routine d'une famille de banlieue est perturbée par le retour imprévu du fils de son service militaire. Série de sketches caricaturaux. Scénario nourri de vulgarités. Mise en scène approximative. Interprétation aléatoire.

Le Bonheur a encore frappé (Le Bonheur a encore frappé)

Général

Fr. 1985. Comédie de Jean-Luc Trotignon avec Jean-Luc Bideau, Michèle Brousse, Jean-Noël Brouté.

La routine d'une famille de banlieue est perturbée par le retour imprévu du fils de son service militaire. Série de sketches caricaturaux. Scénario nourri de vulgarités. Mise en scène approximative. Interprétation aléatoire.

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Genre :

Comédie

Année :

1985

Durée :

80 min.

Réalisation :

Jean-Luc Trotignon

Scénario :

Jean-Luc Trotignon

Photographie :

Michel Abramowicz

Musique :

Jean-Claude Deblais

Montage :

Thierry Rouden

Pays :

France

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Jean-Luc Bideau
Michèle Brousse
Jean-Noël Brouté
Caroline Appéré
Denise Péron
Marie-Christine Orry
Raymond Aquilon
Valérie Schoeller
Smaïn
Claire Magnin

Contremaître dans une usine d'armement, Achille Pinglard vit en banlieue avec sa deuxième femme Ginette, sa fille infirme Josette et sa mère gâteuse. La famille n'apprécie guère le retour impromptu du fils aîné Adolf de son service militaire; cela fait une bouche de plus à nourrir et sa chambre est occupée par une locataire suédoise. Adolf ayant été mêlé à un hold-up, son père et sa belle-mère le dénoncent allègrement à la police. Les Pinglard finissent par connaître la fortune grâce à Josette dont le journal intime devient un succès littéraire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Jean-Luc Trotignon a placé ses débuts au cinéma sous le signe de l'humour bête et méchant pratiqué dans des revues comme Hara-kiri et Charlie-Hebdo. Ses personnages sont laids aussi bien au moral qu'au physique et son scénario se nourrit de bassesses et de vulgarités. Le récit progresse cahin-caha au long de sketches caricaturaux au trait épais et souligné. La mise en scène est approximative, l'auteur semblant compter uniquement sur des effets outranciers pour attirer l'attention du spectateur. Les comédiens en remettent tant et plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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