La Forêt d'émeraude (The Emerald Forest)

Name: Forêt d'émeraude, La
Director: John Boorman
Genre: Drame de moeurs
Duration: 113 min.

G.-B. 1985. Drame de moeurs de John Boorman avec Powers Boothe, Charley Boorman, Meg Foster. En tentant de retrouver son fils disparu dans la jungle brésilienne, un homme tombe entre les mains d'indigènes. Récit idéaliste. Illustration artificielle des moeurs indigènes. Traitement soigné. Interprétation satisfaisante.

La Forêt d'émeraude (The Emerald Forest)

Général

G.-B. 1985. Drame de moeurs de John Boorman avec Powers Boothe, Charley Boorman, Meg Foster.

En tentant de retrouver son fils disparu dans la jungle brésilienne, un homme tombe entre les mains d'indigènes. Récit idéaliste. Illustration artificielle des moeurs indigènes. Traitement soigné. Interprétation satisfaisante.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1985

Durée :

113 min.

Réalisation :

John Boorman

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

CMA

Interprètes :

Powers Boothe
Charley Boorman
Meg Foster

Un ingénieur américain, Bill Markham, dirige la construction d'un barrage dans une région sauvage du Brésil. Au cours d'une excursion, son jeune fils Tommy disparaît dans la forêt et Markham n'arrive pas à le retrouver. L'enfant a été enlevé par une tribu dont les membres s'appellent le peuple invisible et il est élevé comme l'un des leurs. Dix ans plus tard, financé par une revue qui lui dépêche un journaliste, Markham entreprend de nouvelles recherches dans la jungle. Tombé aux mains d'indigènes hostiles, il est rescapé par son fils qui le reconnaît mais refuse de quitter son nouveau milieu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En s'inspirant d'un fait divers, Boorman a imaginé un film où il idéalise la sagesse naturelle des indigènes dans un récit plus poétique que réaliste, même si certaines scènes y sont d'un vérisme dur à supporter. Profitant d'un environnement luxuriant, il a su en tirer des images fascinantes, dotées presque d'une aura magique. Pour documentée que soit son illustration des moeurs indigènes, elle n'en apparaît pas moins artificielle. Il en résulte une aventure exotique pas toujours convaincante mais agréable à regarder. Le fils du réalisateur s'acquitte bien de son rôle d'enfant sauvage et Powers Boothe a de la présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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