L'Enchaîné (La Gabbia)

Name: Enchaîné, L'
Director: Giuseppe Patroni Griffi
Genre: Drame de moeurs
Duration: 98 min.

It. 1985. Drame de moeurs de Giuseppe Patroni Griffi avec Tony Musante, Laura Antonelli, Florinda Bolkan. Durant une visite à un amour de jeunesse, un homme absorbe sans le savoir un somnifère et se retrouve attaché au lit de son hôtesse qui va exercer sur lui une vengeance. Mélange de suspense et de film érotique. Ton pseudo-sophistiqué. Rythme mal assuré. Mise en scène appliquée. Interprétation convaincue.

L'Enchaîné (La Gabbia)

18 ans +

It. 1985. Drame de moeurs de Giuseppe Patroni Griffi avec Tony Musante, Laura Antonelli, Florinda Bolkan.

Durant une visite à un amour de jeunesse, un homme absorbe sans le savoir un somnifère et se retrouve attaché au lit de son hôtesse qui va exercer sur lui une vengeance. Mélange de suspense et de film érotique. Ton pseudo-sophistiqué. Rythme mal assuré. Mise en scène appliquée. Interprétation convaincue.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1985

Durée :

98 min.

Réalisation :

Giuseppe Patroni Griffi

Pays :

Italie

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Tony Musante
Laura Antonelli
Florinda Bolkan

En allant chercher sa maîtresse Hélène pour la conduire à la gare, Michael Parker a l'occasion de croiser une voisine de celle-ci, Marie, en qui il reconnaît un amour de jeunesse. Une fois Hélène partie, Michael ne peut résister à la tentation de sonner à la porte de Marie. Il est fort bien reçu par cette dernière qui vit seule avec sa fille adolescente Jacqueline. Mais Marie lui fait prendre en douce un somnifère et l'homme se retrouve le lendemain matin attaché au lit de son hôtesse qui a une vengeance à exercer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Mélange de suspense et de film érotique, ce film adopte un ton pseudo-sophistiqué pour traiter de folie amoureuse et de perversion sexuelle. À cela se mêlent même quelques éléments d'horreur qui font basculer le film dans l'exploitation pure et simple. En jouant ainsi sur divers tableaux, le réalisateur n'a réussi qu'à désamorcer les possibilités dramatiques de la situation, d'autant que des retours en arrière assez gratuits viennent continuellement briser le rythme du récit. On sent tout de même une certaine application dans la mise en scène et les interprètes ont l'air de prendre leur rôle au sérieux.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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