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Jours d'enfer (I Giorni dell'Inferno)

It. 1985. Aventures de Tonino Ricci avec Conrad Nichols, Werner Pochath, Kiwako Harada. Un groupe de mercenaires est requis par un général américain pour aller à la rescousse d'un docteur et de sa fille dans un pays asiatique occupé par les Russes. Histoire complexe et peu vraisemblable. Enfilade de scènes d'action aussi factices qu'arbitraires. Réalisation conventionnelle. Interprétation plutôt terne.

13 ans +
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Jours d'enfer (I Giorni dell'Inferno)

13 ans + 13 ans +

It. 1985. Aventures de Tonino Ricci avec Conrad Nichols, Werner Pochath, Kiwako Harada.

Un groupe de mercenaires est requis par un général américain pour aller à la rescousse d'un docteur et de sa fille dans un pays asiatique occupé par les Russes. Histoire complexe et peu vraisemblable. Enfilade de scènes d'action aussi factices qu'arbitraires. Réalisation conventionnelle. Interprétation plutôt terne.

Un groupe de mercenaires sous les ordres du capitaine Williams est requis par un général américain pour aller à la rescousse du docteur Hunter et de sa fille Samantha dans un pays asiatique occupé par les Russes. Williams et ses hommes obtiennent le droit de passer par l'Iran, en échange de pièces d'avions, et arrivent à la frontière du pays en question. Leur avance en territoire occupé apparaît trop facile à Williams qui soupçonne anguille sous roche. De fait, Hunter et sa fille doivent être éliminés car ils ont réuni des informations sur l'emploi de gaz toxiques par les Soviétiques. Quand Williams rejoint le village rebelle où se trouvait le savant, il apprend que celui-ci est mort. Il s'emploie à sauver Samantha qui est elle-même malade.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Utilisant des fragments épars de nouvelles internationales, des scénaristes italiens ont imaginé une histoire à la RAMBO inutilement compliquée et fort peu vraisemblable. L'intrigue ne sert d'ailleurs que de prétexte à une enfilade de scènes d'action aussi factices qu'arbitraires. Les explosions s'y multiplient et les cascadeurs s'en donnent à coeur joie, mais ce n'est là que beaucoup de bruit pour rien. La réalisation apparaît fort conventionnelle et l'interprétation ne casse rien.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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