Go to main content
5

House

É.-U. 1985. Drame d'horreur de Steve Miner avec William Katt, George Wendt, Kay Lenz. Vivant seul dans une maison héritée de sa tante suicidée, un romancier est témoin d'étranges phénomènes. Récit incohérent. Enfilade de développements illogiques et de péripéties arbitraires. Mise en scène chargée. Jeu énergique de W. Katt.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
5

House (House)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1985. Drame d'horreur de Steve Miner avec William Katt, George Wendt, Kay Lenz.

Vivant seul dans une maison héritée de sa tante suicidée, un romancier est témoin d'étranges phénomènes. Récit incohérent. Enfilade de développements illogiques et de péripéties arbitraires. Mise en scène chargée. Jeu énergique de W. Katt.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Malofilm
Le romancier Roger Cobb s'installe seul dans une maison héritée de sa tante suicidée pour y écrire un livre sur ses expériences de guerre au Vietnam. Deux souvenirs pénibles hantent la pensée de l'écrivain, la mort atroce d'un camarade de combat, Ben, qu'il a refusé d'achever et la disparition de son jeune fils Jimmy quelque temps avant sa séparation de sa femme Susan. Voici que Roger se met à être témoin d'étranges phénomènes dans la maison; des monstres hideux lui apparaissent et il reçoit la visite d'êtres fantomatiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Deux réalisateurs de la série Friday THE 13TH, Sean Cunningham et Steve Miner, ont fait équipe, l'un comme producteur, l'autre comme metteur en scène pour concocter quelques variations impressionnantes sur le thème classique de la maison hantée. Ils se sont apparemment beaucoup plus préoccupés des trucages et des effets de surprise que de la cohérence de leur récit. Il s'ensuit une enfilade de développements illogiques et de péripéties arbitraires qui aboutissent à un "happy end" saugrenu. Sur le plan technique, le film n'est pas sans qualités mais au niveau de la narration le résultat est tout à fait abracadabrant. William Katt joue avec une énergie appréciable à défaut d'une véritable conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3