Dream Lover

Name: Dream Lover
Director: Alan J. Pakula
Genre: Drame psychologique
Duration: 104 min.

É.-U. 1985. Drame psychologique de Alan J. Pakula avec Kristy McNichol, Ben Masters, Paul Shenar. Une jeune musicienne demande à un spécialiste de l'étude des rêves de l'aider à exorciser des cauchemars. Tentative originale de suspense psychologique. Thème intéressant. Illustration soignée. Passages lourds. Bonne interprétation.

Dream Lover (Dream Lover)

13 ans +

É.-U. 1985. Drame psychologique de Alan J. Pakula avec Kristy McNichol, Ben Masters, Paul Shenar.

Une jeune musicienne demande à un spécialiste de l'étude des rêves de l'aider à exorciser des cauchemars. Tentative originale de suspense psychologique. Thème intéressant. Illustration soignée. Passages lourds. Bonne interprétation.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1985

Durée :

104 min.

Réalisation :

Alan J. Pakula

Pays :

États-Unis

Distributeur :

MGM

Interprètes :

Kristy McNichol
Ben Masters
Paul Shenar

Flûtiste de talent, Kathy Gardner est orpheline de mère et a été élevée par un père sévère et dominateur. Venue à New York pour jouer dans le petit orchestre d'un ami, Kevin, elle est attaquée un soir dans son appartement par un intrus qu'elle poignarde à mort. Cet incident, uni aux efforts de son père pour la reprendre sous sa coupe, suscite chez Kathy une suite de cauchemars angoissants. Inquiète, elle se confie à un jeune spécialiste de l'étude du sommeil et des rêves, Michael Hansen. Celui-ci tente sur elle une expérience pour exorciser ses angoisses mais l'essai prend mauvaise tournure.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'appuyant sur des recherches réelles et conseillé par un spécialiste en la matière,Pakula s'est lancé dans une tentative originale de suspense psychologique. Le thème et son traitement ne manquent pas d'intérêt même si les développements n'échappent pas toujours à une certaine confusion. Le réalisateur a de toute évidence soigné l'illustration avec l'aide du célèbre chef-opérateur de Bergman, Sven Nykvist. Certains passages apparaissent un peu lourds dans leurs prétentions symboliques, mais l'ensemble retient l'attention. Kristy McNichol défend vaillamment son personnage tourmenté.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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