Dim Sum: A Little Bit of Heart

Name: Dim Sum: A Little Bit of Heart
Director: Wayne Wang
Genre: Étude de moeurs
Duration: 85 min.

É.-U. 1985. Étude de moeurs de Wayne Wang avec Laureen Chew, Kim Chew, Victor Wong. Les problèmes familiaux d'une Chinoise sexagénaire qui vit à San Francisco depuis plusieurs années. Comédie fine et détendue. Observations de moeurs intéressantes. Interprétation d'un naturel désarmant.

Dim Sum: A Little Bit of Heart (Dim Sum: A Little Bit of Heart)

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É.-U. 1985. Étude de moeurs de Wayne Wang avec Laureen Chew, Kim Chew, Victor Wong.

Les problèmes familiaux d'une Chinoise sexagénaire qui vit à San Francisco depuis plusieurs années. Comédie fine et détendue. Observations de moeurs intéressantes. Interprétation d'un naturel désarmant.

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Genre :

Étude de moeurs

Année :

1985

Durée :

85 min.

Réalisation :

Wayne Wang

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Pan-Canadian

Interprètes :

Laureen Chew
Kim Chew
Victor Wong

Mme Tam, une Chinoise sexagénaire qui vit à San Francisco depuis quelques décennies, se préoccupe d'obtenir sa citoyenneté américaine avant de retourner en Chine visiter sa parenté. Sa fille Géraldine vit avec elle et ne semble pas pressée de se marier, même si elle a un prétendant sérieux en la personne de Richard, un médecin de Los Angeles. C'est qu'elle craint de laisser sa mère seule et hésite avant de franchir le pas. Geraldine, qui est allée vivre par elle-même un certain temps, revient à la maison après un séjour de sa mère à l'hôpital. Mme Tam finit par faire le voyage attendu et, pendant son absence, Geraldine et Richard s'entendent sur une date pour leurs épousailles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur sino-américain Wayne Wang s'est fait connaître par un faux film policier, CHAN IS MISSING, qui servait de prétexte à une étude sur la vie de ses frères de race en Amérique. Il continue dans cette veine avec une comédie fine et détendue, ancrée dans les détails de la vie quotidienne. Devant les problèmes familiaux abordés ici, on pense aux films du cinéaste japonais Ozu, même si son jeune collègue oriental n'a pas encore une maîtrise technique comparable à la sienne. Il reste que ces observations de moeurs se révèlent d'un intérêt humain certain et qu'elles sont servies par des interprètes au jeu d'un naturel désarmant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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