D.A.R.Y.L.

Name: D.A.R.Y.L.
Director: Simon Wincer
Genre: Science-fiction
Duration: 100 min.

G.-B. 1985. Science-fiction de Simon Wincer avec Barret Oliver, Josef Sommer, Mary Beth Hurt. Un enfant amnésique, recueilli par un jeune couple, se révèle être un androïde mis au point par des savants de l'armée américaine. Conte moderne gentil aux développements prévisibles. Mise en scène professionnelle. Jeu plein de candeur sympathique de B. Oliver.

D.A.R.Y.L. (D.A.R.Y.L.)

Général

G.-B. 1985. Science-fiction de Simon Wincer avec Barret Oliver, Josef Sommer, Mary Beth Hurt.

Un enfant amnésique, recueilli par un jeune couple, se révèle être un androïde mis au point par des savants de l'armée américaine. Conte moderne gentil aux développements prévisibles. Mise en scène professionnelle. Jeu plein de candeur sympathique de B. Oliver.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1985

Durée :

100 min.

Réalisation :

Simon Wincer

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Barret Oliver
Josef Sommer
Mary Beth Hurt

Un jeune garçon amnésique qui dit s'appeler Daryl est recueilli par un jeune couple qui lui sert de famille provisoire. L'enfant révèle des qualités exceptionnelles tout en ayant un comportement un peu bizarre. Mais un autre couple vient le réclamer. Il s'agit en fait de savants à l'emploi du Pentagone et Daryl est un jeune androïde qu'ils ont mis au point. Quand l'état-major ordonne de mettre fin à l'expérience et de détruire Daryl, l'enfant-robot s'enfuit avec l'aide de ses créateurs. Il échappe à ses poursuivants à travers une équipée dangereuse et rejoint sa famille adoptive.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'un gentil conte moderne conçu à l'heure de la science-fiction dont le développement est fidèle aux données déjà mises au point dans des films comme E.T. ou STARMAN. Quoique prévisibles, les rebondissements sont assez bien amenés pour satisfaire les amateurs du genre, surtout les plus jeunes d'entre eux qui peuvent prendre facilement fait et cause pour un robot fugitif d'apparence juvénile, un "pédoïde" en quelque sorte. Le réalisateur australien Simon Wincer, à qui l'on doit des oeuvres aussi disparates que HARLEQUIN et PHAR LAP, mène le jeu avec le professionnalisme voulu et le petit Barret Oliver joue les machines humaines avec une candeur sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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