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Comment claquer un million de dollars par jour (Brewster's Millions)

É.-U. 1985. Comédie de Walter Hill avec Richard Pryor, John Candy, Lonette McKee. Pour hériter d'une immense fortune, un joueur de baseball doit dépenser trente millions en un mois. Sixième adaptation d'un roman populaire du début du XXe siècle. Développements peu convaincants. Mise en scène plus mécanique qu'inspirée. R. Pryor assez à l'aise.

Général
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Comment claquer un million de dollars par jour (Brewster's Millions)

Général Général

É.-U. 1985. Comédie de Walter Hill avec Richard Pryor, John Candy, Lonette McKee.

Pour hériter d'une immense fortune, un joueur de baseball doit dépenser trente millions en un mois. Sixième adaptation d'un roman populaire du début du XXe siècle. Développements peu convaincants. Mise en scène plus mécanique qu'inspirée. R. Pryor assez à l'aise.

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Montgomery Brewster est lanceur pour un club de baseball des ligues mineures. Un jour, il apprend qu'un parent inconnu a fait de lui l'héritier d'une immense fortune. Mais il lui faut d'abord se plier à une bizarre condition: il devra dépenser trente millions en un mois tout en respectant certaines stipulations. Son entourage, qui n'est pas au courant de l'enjeu, s'étonne de la prodigalité soudaine de Brewster et certains de ses amis tentent même de réparer ses embardées financières. Brewster achète son ancien club et l'oppose à une équipe de champions pour réaliser un vieux rêve. Malgré des pièges qui lui sont tendus, il arrive à se débarrasser des trente millions avant l'échéance prévue.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est la sixième fois que l'on porte à l'écran cette histoire conçue au début du siècle. On a dû lui faire subir quelques accommodations pour l'adapter à la personnalité du comique noir Richard Pryor. Celui-ci arrive à créer avec une certaine aisance un sympathique personnage de paumé aux prises avec la fortune, mais les développements imaginés par les scénaristes sont loin d'être convaincants. Le réalisateur Walter Hill (48 HRS.) ne semble guère doué pour la comédie pure et simple et sa mise en scène apparaît plus mécanique qu'inspirée. Le comédien canadien John Candy apporte sa quote-part au climat d'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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