Comme MOSCOU NE CROIT PAS AUX LARMES, ce film s'intéresse aux problèmes sentimentaux des femmes seules, tout en situant l'action cette fois à Leningrad. Assez bien réalisé, le film évoque un mode de vie morose semé de frustrations. L'illustration fait usage de couleurs sombres bien adaptées à la grisaille des sentiments. Elena Safonova compose son personnage avec un beau mélange de sobriété et de sensibilité.
Texte : Robert-Claude Bérubé