Commando Léopard (Kommando Leopard)

Name: Commando Léopard
Director: Anthony M. Dawson
Genre: Aventures
Duration: 103 min.

All. 1985. Aventures de Anthony M. Dawson avec Lewis Collins, Christina Donadio, Klaus Kinski. En Amérique Centrale, un groupe de rebelles confronté aux forces gouvernementales est trahi par un collaborateur écossais. Récit prétexte à des scènes de violence. Traitement simpliste. Scènes d'action réussies. Interprétation tout juste supportable.

Commando Léopard (Kommando Leopard)

Général

All. 1985. Aventures de Anthony M. Dawson avec Lewis Collins, Christina Donadio, Klaus Kinski.

En Amérique Centrale, un groupe de rebelles confronté aux forces gouvernementales est trahi par un collaborateur écossais. Récit prétexte à des scènes de violence. Traitement simpliste. Scènes d'action réussies. Interprétation tout juste supportable.

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Genre :

Aventures

Année :

1985

Durée :

103 min.

Réalisation :

Anthony M. Dawson

Pays :

Allemagne

Distributeur :

Cinéma International

Interprètes :

Lewis Collins
Christina Donadio
Klaus Kinski

Sous la direction du capitaine Carrasco, un groupe de rebelles fait sauter une digue dans un pays d'Amérique centrale. Poursuivis par les troupes gouvernementales sous les ordres du colonel Silveira, ils se réfugient dans un village où un prêtre, le père Julio, dirige un hôpital. Un Ecossais, Smithie, qui s'est joint aux révolutionnaires par amitié pour Carrasco, est capturé et mis en prison. Il s'évade après avoir appris que le président du pays doit se rendre en avion à un aéroport prochain. Carrasco prépare une embuscade, mais il s'agit d'un piège ourdi pour ruiner sa réputation auprès de la population.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le cinéaste italien Antonio Margheriti dit Anthony Dawson a dû tourner ce film en même temps que NOM DE CODE: OIES SAUVAGES puisqu'on y retrouve les mêmes acteurs, les mêmes techniciens et les mêmes décors. Bien que située en Amérique latine, l'histoire se déroule dans un contexte qui évoque plutôt les Philippines. Les éléments dramatiques et sociaux sont posés en termes simplistes et l'accent est mis sur les scènes d'action qui sont raisonnablement réussies, maquettes à l'appui. L'interprétation est tout juste supportable et Klaus Kinski semble égaré dans le décor.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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