Celui qui voit les heures

Name: Celui qui voit les heures
Director: Pierre Goupil
Genre: Comédie dramatique
Duration: 73 min.

Can. 1985. Comédie dramatique de Pierre Goupil avec Pierre Goupil, Frédérique Nolin, Bernard Lalonde. Malgré les remarques négatives dont on lui fait part, un jeune homme poursuit avec tenacité son rêve de devenir cinéaste. Transposition d'expériences personnelles. Un certain effort de style. Récit morne et répétitif. Photographie de qualité. Interprétation fort inégale.

Celui qui voit les heures (Celui qui voit les heures)

Général

Can. 1985. Comédie dramatique de Pierre Goupil avec Pierre Goupil, Frédérique Nolin, Bernard Lalonde.

Malgré les remarques négatives dont on lui fait part, un jeune homme poursuit avec tenacité son rêve de devenir cinéaste. Transposition d'expériences personnelles. Un certain effort de style. Récit morne et répétitif. Photographie de qualité. Interprétation fort inégale.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1985

Durée :

73 min.

Réalisation :

Pierre Goupil

Scénario :

Pierre Goupil

Photographie :

Michel La Veaux

Musique :

François Durocher

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Crépuscule

Producteurs :

Interprètes :

Pierre Goupil
Frédérique Nolin
Bernard Lalonde

Jean-Pierre Lucien se voudrait cinéaste. Il a écrit un scénario qu'il a montré à quelques amis et soumis aux organismes gouvernementaux qui investissent dans l'industrie du film. Il recrute déjà des acteurs pour son film, mais les réponses officielles sont négatives et même ses proches ont des remarques à lui faire sur la structure de son texte. Jean-Pierre n'en a cure, il poursuit son rêve avec ténacité, en dépit des circonstances défavorables.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pierre Goupil travaille dans la distribution de films dits parallèles. Il a transposé dans cet essai des expériences personnelles aussi bien que celles de certains de ses amis. Les frustrations d'un cinéaste potentiel, ce n'est pas là un sujet particulièrement passionnant à moins qu'un certain effort de style se fasse sentir dans le traitement. De telles tentatives sont manifestes ici, mais elles se diluent dans un récit morne et répétitif qui consiste essentiellement en une suite de rencontres le plus souvent verbeuses. La photographie est d'une qualité appréciable, mais l'interprétation, assumée dans l'ensemble par des non professionnels, est fort inégale.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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