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La Cité de la vengeance (Blue City)

É.-U. 1985. Drame policier de Michelle Manning avec Judd Nelson, Ally Sheedy, Paul Winfield. Insatisfait du résultat des recherches policières, un jeune vagabond décide d'enquêter sur le meurtre de son père. Vaine tentative de retour aux traditions du film noir. Récit confus. Développements arbitraires. Mise en scène peu inspirée. Interprétation faible.

13 ans + (violence)
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La Cité de la vengeance (Blue City)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1985. Drame policier de Michelle Manning avec Judd Nelson, Ally Sheedy, Paul Winfield.

Insatisfait du résultat des recherches policières, un jeune vagabond décide d'enquêter sur le meurtre de son père. Vaine tentative de retour aux traditions du film noir. Récit confus. Développements arbitraires. Mise en scène peu inspirée. Interprétation faible.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Lukas Heller
Walter Hill
D'après le roman de Ross MacDonald
Photographie :
Musique :
Montage :
Après avoir vagabondé pendant cinq ans, Billy Turner rentre dans son patelin en Floride et apprend que son père, qui était le maire de l'endroit, a été assassiné quelques mois auparavant par un inconnu. Insatisfait du résultat des recherches policières, Billy décide de mener sa propre enquête, en dépit des avertissements du chef de police local, Reynolds. Le jeune homme soupçonne du crime l'amant de sa belle-mère, Perry Kerch, qui domine le monde du jeu dans la région. Avec l'aide de son ami Joey et de la soeur de celui-ci, Annie, il tente de créer des problèmes à Kerch. Quand Joey est tué lui aussi, Billy décide d'affronter Kerch chez lui, mais il n'est pas au bout de ses surprises.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant d'un roman des années 1940, les auteurs semblent avoir voulu retrouver les traditions du film noir à l'intention de la jeunesse d'aujourd'hui, mais ils n'ont rien réussi de bien intéressant. Le récit se révèle par trop confus et certains développements apparaissent plus arbitraires que logiques. La mise en scène peu inspirée d'une nouvelle réalisatrice n'arrange pas les choses. Le personnage principal n'est guère sympathique et l'interprétation de Judd Nelson le rend encore plus détestable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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