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Belizaire the Cajun

É.-U. 1985. Drame de moeurs de Glen Pitre avec Armand Assante, Gail Youngs, Stephen McHattie. En 1859, pour sauver un ami, un Cajun s'accuse lui-même du crime d'un fermier raciste dont il est amoureux de la femme. Évocation historique un peu fruste mais vivante. Ensemble sympathique et pittoresque. Interprétation pleine d'entrain.

Général
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Belizaire the Cajun (Belizaire the Cajun)

Général Général

É.-U. 1985. Drame de moeurs de Glen Pitre avec Armand Assante, Gail Youngs, Stephen McHattie.

En 1859, pour sauver un ami, un Cajun s'accuse lui-même du crime d'un fermier raciste dont il est amoureux de la femme. Évocation historique un peu fruste mais vivante. Ensemble sympathique et pittoresque. Interprétation pleine d'entrain.

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n/d
En 1859, Belizaire Breaux exerce, dans un village de Louisiane, des talents pour la médecine non reconnus par la faculté. Il est secrètement amoureux d'Adelina Thibodaux qui vit en ménage avec un fermier américain, Matthew Perry, dont elle a eu trois enfants. Perry est à la tête d'un groupe de fanatiques décidés à chasser les descendants d'Acadiens de la région. Lorsque Perry est trouvé mort, c'est un ami de Belizaire, Hypolite Léger, que l'on soupçonne du crime. Pour sauver Hypolite, Belizaire s'accuse lui-même et est condamné à la pendaison. Du haut de l'échafaud, il arrive à confondre le véritable meurtrier.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce premier film d'un jeune réalisateur de Louisiane a reçu l'appui d'un institut de soutien aux cinéastes débutants financé par Robert Redford. Il ne se situe guère dans les normes du cinéma commercial habituel et n'en présente que plus d'intérêt. Dans une évocation historique un peu fruste mais vivante, on y décrit les moeurs d'une communauté d'Acadiens en Louisiane au siècle dernier. Le récit apparaît bien un peu fabriqué par moments, mais le climat d'ensemble est sympathique, certains passages se révèlent fort pittoresques et l'interprète principal met dans son jeu un élan non négligeable. Une trame musicale formée d'airs chantés dans un français rugueux ajoute de l'agrément à l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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