À seize ans, dans l'enfer d'Amsterdam (Hanna D. - La Ragazza del Vondel Park)

Name: À seize ans, dans l'enfer d'Amsterdam
Director: Axel Berger
Genre: Drame de moeurs
Duration: 88 min.

It. 1985. Drame de moeurs de Axel Berger avec Ann-Gisel Glass, Karin Schubert, Antonio Serrano. Enlisée depuis son enfance dans le milieu de la prostitution, une jeune fille cherche, avec la complicité d'un ami, à adopter une autre vie. Mélodrame scabreux et décousu. Illustration d'un réalisme sordide. Direction incertaine. Interprétation sans conviction.

À seize ans, dans l'enfer d'Amsterdam (Hanna D. - La Ragazza del Vondel Park)

18 ans +

It. 1985. Drame de moeurs de Axel Berger avec Ann-Gisel Glass, Karin Schubert, Antonio Serrano.

Enlisée depuis son enfance dans le milieu de la prostitution, une jeune fille cherche, avec la complicité d'un ami, à adopter une autre vie. Mélodrame scabreux et décousu. Illustration d'un réalisme sordide. Direction incertaine. Interprétation sans conviction.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1985

Durée :

88 min.

Réalisation :

Axel Berger

Pays :

Italie

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Ann-Gisel Glass
Karin Schubert
Antonio Serrano

Fille d'une prostituée d'Amsterdam, Hanna se livre, encore adolescente, au marchandage de ses charmes. Après une querelle avec sa mère, elle se retrouve à la rue et tombe sous la coupe d'un certain Miguel qui, pour mieux la contrôler, l'initie à l'usage de la drogue. Hanna fait la connaissance d'un jeune homme, Axel, qui veut l'arracher à son milieu. Mais l'adolescente est reprise par Miguel qui la corrige d'importance. Axel finit par la retrouver, la libère de l'emprise de la drogue et défie Miguel dans un affrontement décisif.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après CHRISTIANE F., HANNA D. Les producteurs italiens de série B ont souvent pour principale préoccupation d'imiter les succès populaires des autres dans l'espoir d'en partager les recettes. Dans le cas présent, le mélodrame scabreux l'emporte d'emblée sur l'étude sociale et l'on ne peut guère accorder créance aux tribulations de l'héroïne, tant leur succession apparaît arbitraire et controuvée. Le tout se présente dans une illustration d'un réalisme sordide. La progression de l'intrigue se fait par à-coups et l'interprétation manque effroyablement de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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