Tir à vue

Name: Tir à vue
Director: Marc Angelo
Genre: Drame policier
Released: 2010-09-22 12:05:17
Duration: 90 min.

Fr. 1984. Drame policier de Marc Angelo avec Laurent Malet, Sandrine Bonnaire, Jean Carmet. Alors qu'il commet divers délits, un jeune délinquant fait la connaissance d'une adolescente qui le suit dans sa vie aventureuse. Sorte de BONNIE AND CLYDE à la française. Récit avançant par à-coups. Rythmr défaillant. Bonne interprétation de L. Malet.

Tir à vue (Tir à vue)

13 ans +

Fr. 1984. Drame policier de Marc Angelo avec Laurent Malet, Sandrine Bonnaire, Jean Carmet.

Alors qu'il commet divers délits, un jeune délinquant fait la connaissance d'une adolescente qui le suit dans sa vie aventureuse. Sorte de BONNIE AND CLYDE à la française. Récit avançant par à-coups. Rythmr défaillant. Bonne interprétation de L. Malet.

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Genre :

Drame policier

Année :

1984

Durée :

90 min.

Réalisation :

Marc Angelo

Scénario :

Yves Mourot

Photographie :

Charlie Van Damme

Musique :

Gabriel Yared

Montage :

Nelly Meunier

Pays :

France

Distributeur :

Ciné 360

Interprètes :

Laurent Malet
Sandrine Bonnaire
Jean Carmet
Michel Jonasz

Aigri par la mort de son frère dans un attentat, Richard décide de faire payer la société. Il commet un hold-up chez un armurier où il rafle fusils et munitions. Un peu plus tard, il vole une moto et fait la connaissance d'une adolescente délurée, Marilyn. Lorsqu'elle découvre que son nouvel ami est un criminel, celle-ci n'est que trop heureuse de s'associer à lui dans une vie aventureuse. Comme les mauvais coups du couple répondent plus à leurs caprices du moment qu'à un plan concerté, la police a de la difficulté à les cerner, mais finit par y arriver.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Oeuvre d'un nouveau venu, ce film semble vouloir proposer un BONNIE AND CLYDE à la française dans un contexte contemporain. Si le réalisateur adopte un style direct dans la description des exploits spontanés de ses tristes héros, le film manque pourtant d'un rythme continu par suite des nombreuses excroissances qui s'accrochent à l'intrigue centrale. Le récit progresse par à-coups et s'arrête un moment donné parce qu'il faut bien finir. Laurent Malet s'en tire sans trop de dommage, mais Sandrine Bonnaire est handicapée par un dialogue semé de jeux de mots artificiels.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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