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Rendez-vous à Broad Street (Give My Regards to Broad Street)

G.-B. 1984. Comédie musicale de Peter Webb avec Paul McCartney, Bryan Brown, Ringo Starr. Un chanteur populaire se fait dérober les bandes types d'enregistrement de son prochain album. Intrigue ténue. Mélange de rêve et de réalité. Un certain poli technique. Ensemble plutôt factice. Jeu sympathique de P. McCartney.

Général
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Rendez-vous à Broad Street (Give My Regards to Broad Street)

Général Général

G.-B. 1984. Comédie musicale de Peter Webb avec Paul McCartney, Bryan Brown, Ringo Starr.

Un chanteur populaire se fait dérober les bandes types d'enregistrement de son prochain album. Intrigue ténue. Mélange de rêve et de réalité. Un certain poli technique. Ensemble plutôt factice. Jeu sympathique de P. McCartney.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Alors qu'il entreprend une journée chargée, le chanteur Paul McCartney apprend la disparition d'un messager, Harry, qui devait porter chez un fabricant de disques les bandes types d'enregistrement de son prochain album. Cet incident risque fortement de nuire à la situation financière du chanteur qui doit réunir des fonds pour contrer les manoeuvres d'un homme d'affaires retors, M. Rath. Le gérant de Paul n'est pas loin de soupçonner Harry, un ancien délinquant, de s'être laissé soudoyer pour faire disparaître les bandes. Paul n'en continue pas moins de vaquer aux activités du jour. En fin de soirée, il retrouve lui-même Harry par un heureux concours de circonstances.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'ancien Beatle Paul McCartney a lui-même conçu l'intrigue ténue de ce film qui n'est guère qu'un lien fragile destiné à relier divers numéros musicaux. Des chansons populaires du célèbre groupe musical des années 60 reçoivent un nouveau traitement et se mêlent à des compositions récentes de McCartney. Certains passages illustrant les rêveries du chanteur donnent lieu à une mise en images d'un maniérisme somptueux alors que d'autres versent dans un futurisme factice. Tout cela compose un ensemble plutôt hybride. Le réalisateur enrobe le résultat dans un certain poli technique. Placé délibérément au centre de toutes les séquences, McCartney fait montre d'aisance et dégage un indéniable don de sympathie.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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