Palace

Name: Palace
Director: Édouard Molinaro
Genre: Comédie dramatique
Duration: 95 min.

Fr. 1984. Comédie dramatique de Édouard Molinaro avec Claude Brasseur, Daniel Auteuil, Gudrun Landgrebe. Un prisonnier de guerre français retrouve en Allemagne son frère qui s'est créé en captivité une situation confortable. Scénario fondé sur une expérience vécue. Traitement peu convaincant. Mise en scène de métier. Interprétation indifférente.

Palace (Palace)

Général

Fr. 1984. Comédie dramatique de Édouard Molinaro avec Claude Brasseur, Daniel Auteuil, Gudrun Landgrebe.

Un prisonnier de guerre français retrouve en Allemagne son frère qui s'est créé en captivité une situation confortable. Scénario fondé sur une expérience vécue. Traitement peu convaincant. Mise en scène de métier. Interprétation indifférente.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Photographie :

Michael Epp

Musique :

Michel Legrand

Montage :

Marie-Josée Audiard

Pays :

France
Allemagne

Distributeur :

CinémaPlus

Interprètes :

Claude Brasseur
Daniel Auteuil
Gudrun Landgrebe

Capturé par les Allemands lors du débarquement de juin 44, Lucien s'évade alors qu'on le conduit à un camp en Allemagne. Il tombe inopinément sur son frère Robert, prisonnier de guerre depuis quatre ans, qui s'est organisé une petite vie confortable en captivité. Tous les soirs, Albert joue du piano dans un hôtel de la ville voisine du camp et il a même une liaison avec la directrice de l'établissement. Aussi est-il peu sympathique aux projets de fuite de Lucien.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il paraît que l'anecdote du film est fondée sur une expérience vécue. Édouard Molinaro ne l'a pourtant pas illustrée avec toute la conviction voulue, si bien que le film hésite entre divers genres et n'emporte pas vraiment l'adhésion. L'opposition établie entre le patriote à tout crin et le partisan du système D comporte quelques observations ironiques bien venues mais n'est pas d'une nouveauté transcendante. Le spectateur peut rester perplexe devant les intentions des auteurs et se laisser gagner par une indifférence croissante devant les tribulations de personnages insuffisamment dessinés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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