Les Voleurs de la nuit

Name: Voleurs de la nuit, Les
Director: Samuel Fuller
Genre: Drame policier
Duration: 96 min.

Fr. 1984. Drame policier de Samuel Fuller avec Bobby Di Cicco, Véronique Jannot, Victor Lanoux. Deux jeunes chômeurs s'entendent pour exercer une vengeance sur les fonctionnaires qui les ont tracassés. Suite de situations artificielles. Réalisation vive. Complications arbitraires. Interprétation insuffisante.

Les Voleurs de la nuit (Les Voleurs de la nuit)

13 ans +

Fr. 1984. Drame policier de Samuel Fuller avec Bobby Di Cicco, Véronique Jannot, Victor Lanoux.

Deux jeunes chômeurs s'entendent pour exercer une vengeance sur les fonctionnaires qui les ont tracassés. Suite de situations artificielles. Réalisation vive. Complications arbitraires. Interprétation insuffisante.

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Genre :

Drame policier

Année :

1984

Durée :

96 min.

Réalisation :

Samuel Fuller

Pays :

France

Distributeur :

Dima

Interprètes :

Bobby Di Cicco
Véronique Jannot
Victor Lanoux

François est violoncelliste et Isabelle veut travailler dans un musée. Pour le moment, tous deux sont chômeurs. Ils font connaissance au bureau d'emploi où Isabelle, excédée par l'attitude d'une fonctionnaire, fait un esclandre. Ils sympathisent, décident de vivre ensemble et s'entendent pour exercer une petite vengeance sur les ronds-de-cuir qui les ont tracassés. Mais la plaisanterie tourne mal lorsque le sieur Crépin, surpris par eux en fâcheuse posture. tombe d'une fenêtre et se tue. Soupçonnés de meurtre, les jeunes gens tentent de fuir à l'étranger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On peut se demander pourquoi Samuel Fuller, vieux routier du cinéma d'action à l'américaine, est allé tourner en France cette histoire fabriquée. Après une entrée en matière assez alerte, le récit s'enlise dans une suite de situations artificielles qu'une réalisation pourtant vive n'arrive pas à rendre plausibles. Les réactions des personnages manquent de vraisemblance et les complications où ils s'engagent relèvent d'une dramaturgie arbitraire. La compétence technique que révèle la mise en images ne peut pas corriger la mièvrerie de certains développements ni l'insuffisance de l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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