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Les Premières Armes (Unfinished Business)

Can. 1984. Drame psychologique de Don Owen avec Isabelle Mejias, Peter Spence, Peter Kastner. Les tribulations d'une adolescente qui décide avec son compagnon de se consacrer à la lutte antinucléaire. Nouvelles variations sur le thème de l'adolescence. Approche quelque peu dispersée. Traitement direct et sincère. Ensemble d'un intérêt constant. Interprétation satisfaisante.

En attente de classement
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Les Premières Armes (Unfinished Business)

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Can. 1984. Drame psychologique de Don Owen avec Isabelle Mejias, Peter Spence, Peter Kastner.

Les tribulations d'une adolescente qui décide avec son compagnon de se consacrer à la lutte antinucléaire. Nouvelles variations sur le thème de l'adolescence. Approche quelque peu dispersée. Traitement direct et sincère. Ensemble d'un intérêt constant. Interprétation satisfaisante.

Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Pan-Canadian
Isabelle Marks, dite Izzy, est une adolescente fille d'un père publicitaire et d'une mère animatrice de radio, séparés depuis quelques années. Alors qu'elle doit préparer un examen important, Izzy a plutôt tendance à folâtrer. Elle fait la rencontre d'un garçon de son âge, Jesse, bricoleur de talent et fils d'un ancien avocat qui s'est consacré à la lutte anti-nucléaire. Izzy s'intéresse aux activités du groupe et décide de se dévouer à cette cause. Elle croit trouver appui auprès de son père qui fut aussi contestataire dans son jeune âge. Celui-ci l'engage à réfléchir à son avenir, alors qu'elle veut quitter la ville avec Jesse après avoir placé une bombe.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vingt ans après NOBODY WAVED GOODBYE, Don Owen revient sur le sujet des problèmes de l'adolescence en faisant des héros de son premier film les parents d'une contestataire en herbe. Touchant à la fois les tourments de la puberté et l'éveil de la conscience sociale, le film est quelque peu dispersé dans son approche, mais le traitement est assez direct et sincère pour générer un intérêt constant en dépit d'éléments gratuits. Sans avoir l'impact émotif du film précité, le résultat est une oeuvre honorable qui contient des aperçus éclairants. L'interprétation est satisfaisante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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