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Les Enfants

Name: Enfants, Les
Director: Marguerite Duras
Genre: Comédie satirique
Duration: 94 min.

Fr. 1984. Comédie satirique de Marguerite Duras avec Axel Bogousslavsky, Daniel Gélin, Tatiana Moukhine. Un enfant de sept ans qui en parait quarante provoque la stupéfaction dans son entourage lorsqu'il décide de quitter l'école. Jeu de l'esprit s'apparentant au théâtre de l'absurde. Réflexions pertinentes sur le sens de la vie. Illustration précise. Interprétation à la fois juste et détachée.

Les Enfants (Les Enfants)

Général

Fr. 1984. Comédie satirique de Marguerite Duras avec Axel Bogousslavsky, Daniel Gélin, Tatiana Moukhine.

Un enfant de sept ans qui en parait quarante provoque la stupéfaction dans son entourage lorsqu'il décide de quitter l'école. Jeu de l'esprit s'apparentant au théâtre de l'absurde. Réflexions pertinentes sur le sens de la vie. Illustration précise. Interprétation à la fois juste et détachée.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1984

Durée :

94 min.

Réalisation :

Marguerite Duras

Scénario :

Marguerite Duras

Photographie :

Bruno Nuytten

Musique :

Carlos D'Alessio

Montage :

Françoise Belleville

Pays :

France

Distributeur :

Vivafilm

Interprètes :

Axel Bogousslavsky
Daniel Gélin
Tatiana Moukhine
Martine Chevallier
André Dussollier
Pierre Arditi

Enfant à la croissance rapide, Ernesto a sept ans mais il en paraît déjà presque quarante. Après être allé un jour à l'école, il a décidé de ne plus y retourner. Ses parents, de braves gens un peu demeurés, ne s'opposent pas à sa résolution, mais doivent s'en expliquer avec le directeur. Celui-ci demande un entretien avec Ernesto en présence de ses père et mère, mais le gamin ne dévie pas de sa détermination. Il énonce même des raisonnements qui semblent troubler le directeur. Mis au courant de la situation, un journaliste vient rencontrer tout le monde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans un jeu de l'esprit s'apparentant au théâtre de l'absurde, Marguerite Duras présente un film où le texte a plus d'importance que l'image. Il reste que l'illustration est mise au point avec précision dans une suite de plans fixes suggérant le calme devant entourer une sorte de discussion philosophique où l'ironie le dispute à la poésie. Il en résulte un film insolite d'un charme particulier où l'auteur fait passer sans mal sa vision particulière de l'homme, du monde, de la connaissance, etc. L'interprétation est à la fois juste et détachée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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