Le Pays où rêvent les fourmis vertes (Wo die grünen Ameisen träumen)

Name: Pays où rêvent les fourmis vertes, Le
Director: Werner Herzog
Genre: Drame social
Duration: 101 min.

All. 1984. Drame social de Werner Herzog avec Bruce Spence, Wandjuk Marika, Roy Marika. En Australie, des aborigènes s'opposent à des explorations minières dans des terres qu'ils considèrent comme sacrées. Sujet insolite. Traitement un peu sec. Aspects intéressants. Interprétation naturelle.

Le Pays où rêvent les fourmis vertes (Wo die grünen Ameisen träumen)

Général

All. 1984. Drame social de Werner Herzog avec Bruce Spence, Wandjuk Marika, Roy Marika.

En Australie, des aborigènes s'opposent à des explorations minières dans des terres qu'ils considèrent comme sacrées. Sujet insolite. Traitement un peu sec. Aspects intéressants. Interprétation naturelle.

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Genre :

Drame social

Année :

1984

Durée :

101 min.

Réalisation :

Werner Herzog

Pays :

Allemagne

Distributeur :

Vivafilm

Interprètes :

Bruce Spence
Wandjuk Marika
Roy Marika

En Australie, une importante compagnie minière entreprend des fouilles exploratoires dans une région aride de l'arrière-pays. Des aborigènes s'opposent aux travaux, car il s'agit là, selon leurs traditions, d'une terre sacrée. Des pourparlers s'engagent entre les dirigeants de la compagnie et les indigènes par l'intermédiaire du géologue Hackett, chargé des opérations. L'affaire n'est pas facile car une barrière d'incompréhension sépare les interlocuteurs. Un procès a lieu où sont évoqués d'autres cas semblables survenus à travers le monde. La compagnie a gain de cause et les travaux se poursuivent.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Attiré par les sujets insolites, Herzog a trouvé un exemple particulièrement éloquent du choc des cultures en même temps qu'une approche révélatrice du thème contemporain des droits des autochtones. Son traitement du sujet apparaît cependant un peu sec et les touches bizarres comme les envolées poétiques se font plus rares que de coutume. L'histoire traîne parfois en longueur et en palabres, surtout à l'occasion du procès. Le résultat d'ensemble ne manque pourtant pas d'intérêt, tant par la beauté déconcertante du contexte ambiant que par l'attitude désarmante des aborigènes. Quelques comédiens professionnels se mêlent avec naturel à des interprètes recrutés sur les lieux.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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