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La Rage de vaincre (Rush)

It. 1983. Science-fiction de Tonino Ricci avec Conrad Nichols, Gordon Mitchell, Laura Trotter. Quelques années après une cataclysme atomique, un aventurier solitaire s'oppose à un despote qui veut utiliser les survivants comme sujets d'expérimentation. Intrigue sans intérêt empruntant à ROAD WARRIOR et FIRST BLOOD. Personnages simplistes. Décors minables. Trucages ratés. Mise en scène chétive. Interprétation quelconque.

13 ans +
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La Rage de vaincre (Rush)

13 ans + 13 ans +

It. 1983. Science-fiction de Tonino Ricci avec Conrad Nichols, Gordon Mitchell, Laura Trotter.

Quelques années après une cataclysme atomique, un aventurier solitaire s'oppose à un despote qui veut utiliser les survivants comme sujets d'expérimentation. Intrigue sans intérêt empruntant à ROAD WARRIOR et FIRST BLOOD. Personnages simplistes. Décors minables. Trucages ratés. Mise en scène chétive. Interprétation quelconque.

Quelques années après une guerre atomique qui a dévasté le continent américain, un despote qui régit un laboratoire souterrain envoie ses hommes à l'extérieur. Ceux-ci ont pour tâche de s'emparer des survivants pour les employer comme main-d'oeuvre ou en tant que sujets d'expérimentation. Un aventurier solitaire appelé Rush est capturé lui aussi mais il s'échappe. Sa connaissance de la forêt comme sa débrouillardise lui permettent d'éliminer ses poursuivants. Rush retourne dans les souterrains régler son compte au tyran et annoncer aux prisonniers que le sol dévasté est redevenu fertile.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pour vivifier cette nouvelle et piètre imitation à l'italienne de ROAD WARRIOR, les auteurs n'ont rien trouvé de mieux que de faire des emprunts à FIRST BLOOD. Le héros apparaît donc comme un succédané de Rambo en même temps qu'un émule de Mad Max; c'est l'impasse du produit dérivé. Pour le reste, on n'a pas fait montre de beaucoup plus d'invention; des personnages simplistes s'agitent dans des décors minables à la recherche d'un semblant d'action. Les trucages sont ratés, la mise en scène est chétive et l'interprétation ne rachète rien.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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