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La Déchirure (The Killing Fields)

É.-U. 1984. Drame social de Roland Joffé avec Sam Waterston, Haing S. Ngor, John Malkovich. Lorsqu'il est fait prisonnier par des Khmers rouges, un journaliste cambodgien est laissé à lui-même malgré les efforts d'un collègue américain pour l'aider. Récit fondé sur une expérience vécue. Passages intenses. Illustration inspirée. Interprétation sobre et convaincante.

13 ans +
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La Déchirure (The Killing Fields)

13 ans + 13 ans +

É.-U. 1984. Drame social de Roland Joffé avec Sam Waterston, Haing S. Ngor, John Malkovich.

Lorsqu'il est fait prisonnier par des Khmers rouges, un journaliste cambodgien est laissé à lui-même malgré les efforts d'un collègue américain pour l'aider. Récit fondé sur une expérience vécue. Passages intenses. Illustration inspirée. Interprétation sobre et convaincante.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Warner Bros.
Récompenses
Dans les années 1970, Sidney Schanberg est correspondant du New York Times au Cambodge. Un journaliste local, Dith Pran, l'assiste dans ses reportages et lui sert d'interprète. Lorsque les Khmers rouges s'emparent du pouvoir, Scahnberg, comme beaucoup d'autres, trouve refuge dans l'ambassade française de Phnom Penh. Les révolutionnaires exigent qu'on leur livre tous les Cambodgiens avant de laisser sortir du pays les ressortissants étrangers. Malgré les efforts de Schanberg pour lui procurer un faux passeport, Pran est fait prisonnier et envoyé dans un camp de rééducation. Il parvient à s'en échapper après plusieurs mois et connaît une pénible odyssée avant d'arriver à sortir du Cambodge.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fondé sur une expérience vécue, le film présente en termes percutants les tristes réalités de la guerre et de ses séquelles. Le résultat est d'autant plus étonnant quand on sait qu'il s'agit du premier long métrage de son auteur, nouveau talent recruté (comme d'autres avant lui) par le producteur David Puttnam. Le récit est bien quelque peu morcelé, mais il comporte des passages d'une intensité prenante et la mise en scène évoque, sans insister, divers problèmes psychologiques ou sociaux. Le résultat est une oeuvre riche de signification et servie par une illustration inspirée. L'interprétation est sobre et convaincante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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