L'Homme aux deux visages (The Jigsaw Man)

Name: Homme aux deux visages, L'
Director: Terence Young
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 94 min.

G.-B. 1984. Drame d'espionnage de Terence Young avec Michael Caine, Laurence Olivier, Susan George. Un transfuge anglais est renvoyé dans son pays par les Russes pour récupérer une liste compromettante. Développements arbitraires et peu vraisemblables. Mise en scène de métier. Interprétation peu convaincue.

L'Homme aux deux visages (The Jigsaw Man)

Général

G.-B. 1984. Drame d'espionnage de Terence Young avec Michael Caine, Laurence Olivier, Susan George.

Un transfuge anglais est renvoyé dans son pays par les Russes pour récupérer une liste compromettante. Développements arbitraires et peu vraisemblables. Mise en scène de métier. Interprétation peu convaincue.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1984

Durée :

94 min.

Réalisation :

Terence Young

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Michael Caine
Laurence Olivier
Susan George

Ancien chef des services secrets britanniques, Philip Kimberley vit en Russie après avoir fait défection. Ses hôtes le trouvent embarrassant cependant et décident de lui confier une mission spéciale. Après avoir fait croire à sa mort, on lui change le visage par la chirurgie plastique et on le renvoie en Occident où il devra reprendre une liste d'espions soviétiques qu'il a lui-même cachée autrefois. Kimberley échappe à ses surveillants et entreprend des négociations avec un ancien collègue pour obtenir un asile sûr et une somme respectable en échange de la liste. La fille du transfuge est mêlée malgré elle à ces tractations.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Évoquant par la bande l'aventure de traîtres notoires comme Philby, Maclean et Burgess, l'intrigue aurait pu présenter des points d'intérêt particuliers mais elle s'enfonce malheureusement dans des développements arbitraires et peu vraisemblables. Terence Young, qui fut le premier réalisateur des aventures de James Bond, n'a pas conservé en vieillissant le punch et la vivacité dont il faisait montre à l'époque. L'attention se perd dans des complications filandreuses où les comédiens semblent s'être engagés avec une conviction mitigée. Quelques passages d'une ironie cynique raniment par moments une certaine curiosité.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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