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Breakin' 2 - Electric Boogaloo

É.-U. 1984. Comédie musicale de Sam Firstenberg avec Lucinda Dickey, Adolfo Quinones, Michael Chambers. Trois jeunes danseurs tentent de contrecarrer les plans d'un entrepreneur qui veut raser le centre communautaire où ils s'entraînent pour y construire un supermarché. Récit naïf pétri de bons sentiments. Personnages manquant de consistance. Quelques numéros musicaux endiablés. Interprètes plus doués pour la danse que la comédie.

Général
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Breakin' 2 - Electric Boogaloo (Breakin' 2 - Electric Boogaloo)

Général Général

É.-U. 1984. Comédie musicale de Sam Firstenberg avec Lucinda Dickey, Adolfo Quinones, Michael Chambers.

Trois jeunes danseurs tentent de contrecarrer les plans d'un entrepreneur qui veut raser le centre communautaire où ils s'entraînent pour y construire un supermarché. Récit naïf pétri de bons sentiments. Personnages manquant de consistance. Quelques numéros musicaux endiablés. Interprètes plus doués pour la danse que la comédie.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Jan Ventura
Julie Reichert
D'après l'oeuvre de Charles Parker
D'après l'oeuvre de Allen DeBevoise
Photographie :
Musique :
Montage :
Fille d'un riche homme d'affaires de Los Angeles, Kelly poursuit le métier de danseuse et a lié amitié avec Ozone et Turbo, deux danseurs de rues. Ceux-ci sont préoccupés par la cession possible d'un terrain où se trouve un centre communautaire à un entrepreneur qui veut y construire un supermarché. Un magistrat leur accorde trente jours pour réunir la somme nécessaire à la réfection de l'édifice, sans quoi le projet de centre commercial sera accepté. Kelly joint ses efforts à ceux de ses amis pour cette campagne et renonce même à un engagement à Paris pour ce faire. En dépit des obstacles, les jeunes arrivent à leurs fins, grâce à un spectacle musical improvisé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Pétri d'une candeur naïve, ce film dépeint un petit monde coloré où l'on vient à bout des difficultés par la musique, la danse et la joie de vivre. Les personnages manquent de consistance et ne sont guère que des pantins sympathiques agités au rythme de quelques thèmes à la mode. La mise en train est assez laborieuse, mais le récit s'anime par la suite grâce à une succession de numéros endiablés. Bien que plus doués pour la danse que pour la comédie, les jeunes interprètes, habillés d'oripeaux bizarres, ne manquent pas de présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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