Bolero

Name: Bolero
Director: John Derek
Genre: Drame de moeurs
Duration: 104 min.

É.-U. 1984. Drame de moeurs de John Derek avec Bo Derek, Andrea Occhipinti, George Kennedy. Dans les années 1920, les tribulations d'une riche héritière qui cherche à perdre sa virginité avec un héros romantique. Scénario insipide. Traitement artificiel. Réalisation maladroite. Interprètes mal dirigés.

Bolero (Bolero)

16 ans + (érotisme)

É.-U. 1984. Drame de moeurs de John Derek avec Bo Derek, Andrea Occhipinti, George Kennedy.

Dans les années 1920, les tribulations d'une riche héritière qui cherche à perdre sa virginité avec un héros romantique. Scénario insipide. Traitement artificiel. Réalisation maladroite. Interprètes mal dirigés.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1984

Durée :

104 min.

Réalisation :

John Derek

Scénario :

John Derek

Photographie :

John Derek

Musique :

Peter Bernstein

Pays :

États-Unis

Distributeur :

CMA

Interprètes :

Bo Derek
Andrea Occhipinti
George Kennedy
Ana Obregon
Olivia D'Abo
Greg Bensen

Dans les années 1920, une riche héritière, Ayre McGillvary, finit ses études dans un collège anglais avec une seule idée en tête: perdre sa virginité avec un héros romantique. Elle commence par se rendre en Afrique du Nord où elle espère rencontrer un cheik aussi séduisant que Valentino, mais celui qu'elle conquiert s'endort au moment de lui rendre ses hommages amoureux. Ayre se rend ensuite en Espagne où elle s'éprend d'un matador. Son nouvel amant est blessé au bas du corps au cours d'une corrida et Ayre s'emploie à faire renaître ses énergies viriles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cherchant à profiter de la beauté de sa jeune femme, l'ancien acteur John Derek a joué à l'homme à tout faire en assumant toutes les principales fonctions techniques de son film. Il n'a cependant réussi qu'à tout mal faire: le scénario est insipide, la réalisation maladroite, la photographie artificielle et le montage chaotique. L'inspiration d'ensemble relève d'un goût plus que douteux et le résultat, d'un ridicule achevé, n'aboutit qu'à un navrant gaspillage d'énergies. Mal dirigée, Bo Derek n'arrive qu'à poser de façon insignifiante alors que le vétéran George Kennedy semble manifestement peu à l'aise dans un rôle mal défini.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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