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Blame It on the Night

É.-U. 1984. Drame musical de Gene Taft avec Nick Mancuso, Byron Thames, Leslie Ackerman. Elevé depuis l'âge de six ans dans une académie militaire, un adolescent part en tournée avec son père vedette de musique rock. Scénario superficiel basé sur des oppositions de caractère. Quelques passages joliment traités. Bonne prestance de N. Mancuso.

Général
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Blame It on the Night (Blame It on the Night)

Général Général

É.-U. 1984. Drame musical de Gene Taft avec Nick Mancuso, Byron Thames, Leslie Ackerman.

Elevé depuis l'âge de six ans dans une académie militaire, un adolescent part en tournée avec son père vedette de musique rock. Scénario superficiel basé sur des oppositions de caractère. Quelques passages joliment traités. Bonne prestance de N. Mancuso.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Astral
Chris Dalton, chanteur vedette de musique rock, a un fils de treize ans, Job, fruit d'une aventure passagère. La mère étant morte, Chris décide de faire plus ample connaissance avec son rejeton et l'invite à le suivre en tournée au cours d'un été. Élevé depuis l'âge de six ans dans une académie militaire. Job supporte sans enthousiasme cette immersion dans le monde du spectacle. Chris, de son côté, est agacé par les altitudes rigides et les opinions critiques du jeune garçon. Le père et le fils en viennent pourtant à une entente affectueuse.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le dénommé Michael Philip Jagger crédité au générique n'est autre que le chanteur Mick Jagger. Le thème en vaut un autre et pouvait recevoir un développement intéressant, mais on ne peut affirmer qu'il ait été traité en profondeur. Le dénouement est vite prévisible et il ne reste qu'à voir par quelles variations vont passer les oppositions de caractère initiales pour en arriver à une entente. Le résultat apparaît superficiel même si certains passages sont joliment traités. Nick Mancuso ne manque pas de présence dans son rôle de chanteur, mais il faut noter que les airs, assez réussis d'ailleurs, qui semblent sortir de ses lèvres ont en fait été enregistrés par Ted Neeley qui fut jadis l'interprète au cinéma de JESUS CHRIST SUPERSTAR.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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