À la seconde près (Trial Run)

Name: À la seconde près
Director: Melanie Read
Genre: Drame psychologique
Duration: 90 min.

N.-Z. 1984. Drame psychologique de Melanie Read avec Annie Whittle, Judith Gibson, Christopher Broun. Une photographe, qui s'est installée dans une maison isolée, prend peur à la suite d'événements inexpliqués. Intrigue simple. Quelques longueurs. Revirement final ingénieux. Mise en scène souple. Interprétation honnête.

À la seconde près (Trial Run)

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N.-Z. 1984. Drame psychologique de Melanie Read avec Annie Whittle, Judith Gibson, Christopher Broun.

Une photographe, qui s'est installée dans une maison isolée, prend peur à la suite d'événements inexpliqués. Intrigue simple. Quelques longueurs. Revirement final ingénieux. Mise en scène souple. Interprétation honnête.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1984

Durée :

90 min.

Réalisation :

Melanie Read

Pays :

Nouvelle-Zélande

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Annie Whittle
Judith Gibson
Christopher Broun

Rosemary Edmonds obtient un contrat pour réaliser un reportage photographique sur les bébés pingouins. Pour ce faire, elle doit quitter sa famille et aller habiter dans une maison Isolée pendant six mois. Parallèlement à son travail, elle s'entraîne à la course à pied en vue d'une compétition. La plupart du temps, elle est seule et son plus proche voisin lui semble inquiétant Petit à petit, une suite d'événements inexpliqués font naître en elle une peur incontrôlable. Son équilibre psychique est mis à rude épreuve jusqu'à ce qu'elle apprenne qui est à l'origine de ces méfaits.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film à petit budget est le premier long métrage de Melanie Read. La simplicité de l'intrigue et les longueurs du récit ne permettent pas toujours le maintien du suspense, mais le revirement final est fort ingénieux... bien qu'il faille attendre longtemps avant de comprendre que les craintes de Rosemary sont justifiées. La constante mobilité de la caméra met en relief le jeu de cache-cache qui s'installe entre la jeune femme et son agresseur. Bien intégrée au propos du film, la beauté des paysages souligne la solitude de l'athlète et de l'artiste. Annie Whittle est très convaincante dans une interprétation d'ensemble honnête.

Texte : Sylvie Beaupré

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