Vive la sociale

Name: Vive la sociale
Director: Gérard Mordillat
Genre: Comédie
Duration: 95 min.

Fr. 1983. Comédie de Gérard Mordillat avec François Cluzet, Élizabeth Bourgine, Robin Renucci. Un animateur de noces populaires se rappelle divers incidents de son enfance et de son adolescence. Tableau à la fois sympathique et satirique d'une jeunesse en milieu populaire. Aperçus humoristiques agrémentés de trouvailles de style. Narration assez alerte. Jeu plaisant de F. Cluzet.

Vive la sociale (Vive la sociale)

Général

Fr. 1983. Comédie de Gérard Mordillat avec François Cluzet, Élizabeth Bourgine, Robin Renucci.

Un animateur de noces populaires se rappelle divers incidents de son enfance et de son adolescence. Tableau à la fois sympathique et satirique d'une jeunesse en milieu populaire. Aperçus humoristiques agrémentés de trouvailles de style. Narration assez alerte. Jeu plaisant de F. Cluzet.

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Genre :

Comédie

Année :

1983

Durée :

95 min.

Réalisation :

Gérard Mordillat

Pays :

France

Distributeur :

Dima

Interprètes :

François Cluzet
Élizabeth Bourgine
Robin Renucci

Récompenses

Maurice Dacques, animateur de noces populaires avec son copain Pater, se rappelle divers incidents de son enfance et de son adolescence. Fils d'un serrurier communiste et d'une Américaine anarchiste, il a grandi dans le culte de la lutte des classes. À dix ans, il a fait un assez long séjour dans un préventorium de l'île de Ré. Après son service militaire dans la marine, il s'est épris d'une musicienne hongroise, Genichka, qu'il a épousée. L'installation du jeune couple dans un appartement voisin de celui des parents de Maurice a entraîné quelques conflits familiaux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Nourri d'incidents autobiographiques évoqués avec une ironie gentiment goguenarde, ce film offre un tableau à la fois sympathique et satirique d'une jeunesse en milieu populaire. En quelque sorte, on pourrait dire que c'est du cinéma de chansonnier où les aperçus humoristiques s'agrémentent de jolies trouvailles de style. Ainsi le narrateur s'introduit dans ses souvenirs d'enfance et converse avec lui-même. Tout n'est pas d'un bonheur égal dans la narration, mais il y a suffisamment de verve pour maintenir un intérêt amusé. François Cluzet mène le jeu avec une aisance plaisante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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