Stranger's Kiss

Name: Stranger's Kiss
Director: Matthew Chapman
Genre: Drame de moeurs
Duration: 94 min.

É.-U. 1983. Drame de moeurs de Matthew Chapman avec Peter Coyote, Victoria Tennant, Blaine Novak. Un acteur tombe amoureux de sa partenaire, ce qui éveille la jalousie du producteur du film qui en est l'amant. Variation originale sur les rapports entre le cinéma et la vie. Mise en scène assurée. Quelques passages inspirés. Interprétation sobre et convaincante.

Stranger's Kiss (Stranger's Kiss)

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É.-U. 1983. Drame de moeurs de Matthew Chapman avec Peter Coyote, Victoria Tennant, Blaine Novak.

Un acteur tombe amoureux de sa partenaire, ce qui éveille la jalousie du producteur du film qui en est l'amant. Variation originale sur les rapports entre le cinéma et la vie. Mise en scène assurée. Quelques passages inspirés. Interprétation sobre et convaincante.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1983

Durée :

94 min.

Réalisation :

Matthew Chapman

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Orion

Interprètes :

Peter Coyote
Victoria Tennant
Blaine Novak

En 1955, l'acteur Stevie Blake passe une audition pour obtenir un rôle de premier plan dans un film mineur. Il s'agit de l'histoire d'un boxeur qui veut arracher une danseuse à l'emprise d'un propriétaire de club venimeux. Le film est financé en bonne partie par un racketter, Silva, dont la maîtresse Carol joue le principal rôle féminin. Le réalisateur Stanley a des ambitions artistiques et cherche à donner une tournure originale à cette production au budget moyen. Stevie s'éprend de sa partenaire, ce qui risque d'éveiller la colère de Silva.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'une production indépendante, tournée avec un budget modeste par un cinéaste imaginatif qui s'est amusé à développer des variations sur les rapports entre le cinéma et la vie. Les connaisseurs saisiront des références aux débuts de la carrière de Stanley Kubrick qui tourna en 1955 le film KILLER'S KISS qui sert de modèle à celui dont on suit la production dans le scénario. Tout n'est pas de valeur égale dans la réalisation, mais les passages inspirés surclassent ceux qui ne sont que prétentieux. Une mise en scène assurée pastiche avec adresse le style cinématographique en vigueur à l'époque évoquée. Les interprètes ont un jeu sobre et convaincant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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