Remarquable

Sarah

Name: Sarah
Director: Maurice Dugowson
Genre: Drame poétique
Duration: 106 min.

Fr. 1983. Drame poétique de Maurice Dugowson avec Jacques Dutronc, Gabrielle Lazure, Heinz Bennent. Un expert en assurances est intrigué par la disparition de l'interprète du rôle-titre d'un film. Approche stylisée et poétique du tournage d'un film. Traitement intéressant. Rythme quelque peu languissant. Bons interprètes.

Sarah (Sarah)

Général

Fr. 1983. Drame poétique de Maurice Dugowson avec Jacques Dutronc, Gabrielle Lazure, Heinz Bennent.

Un expert en assurances est intrigué par la disparition de l'interprète du rôle-titre d'un film. Approche stylisée et poétique du tournage d'un film. Traitement intéressant. Rythme quelque peu languissant. Bons interprètes.

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Genre :

Drame poétique

Année :

1983

Durée :

106 min.

Réalisation :

Maurice Dugowson

Scénario :

Maurice Dugowson

Photographie :

Jean-François Robin

Musique :

Gabriel Yared

Montage :

Jean-Bernard Bonis

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Jacques Dutronc
Gabrielle Lazure
Heinz Bennent
Lea Massari
Jean-Claude Brialy
Gabriel Yared
Evelyne Dress
Frederico Santalla
Jean-Claude Dauphin
René Féret
Gérard Darrieu
François Perrot

Arnold Samson, employé d'une compagnie d'assurances, est venu en Espagne évaluer les dommages causés par l'incendie des décors d'un film. Le tournage est arrêté tant à causé de cet incident que par suite de la disparition de l'interprète du rôle-titre, Marie, une débutante. Arnold reconnaît dans les rushes la jeune femme qu'il a rencontrée la veille de son arrivée sur les lieux du tournage. Fasciné par ce qu'il découvre sur le monde du cinéma, il prolonge ses vérifications jusqu'à ce que Marie revienne.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Jouant sur les rapports entre l'illusion et la réalité, Maurice Dugowson propose une approche stylisée et poétique du travail de conception d'un film. Le spectateur nage ainsi dans le flou artistique et se trouve loin de la démonstration alerte et précise offerte par François Truffaut dans LA NUIT AMÉRICAINE. Le résultat ne manque pas d'intérêt, loin de là, même si le rythme languit par moments. La photographie est souvent fascinante et les acteurs jouent en équilibre précaire sur la frontière de la prétention et de la conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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