Remarquable

Sandy

Name: Sandy
Director: Michel Nerval
Genre: Comédie musicale
Released: 2010-09-21 16:49:23
Duration: 86 min.

Fr. 1983. Comédie musicale de Michel Nerval avec Sandy Stevenson, Gary Moss, Tchee. À Paris, une jeune Anglaise rêve de se faire un nom dans le monde du spectacle. Sujet rebattu et traité sans originalité. Numéros musicaux peu élaborés. Mise en scène sans personnalité. Cabotinage des comédiens vétérans. Jeunes interprètes sympathiques.

Sandy (Sandy)

Général

Fr. 1983. Comédie musicale de Michel Nerval avec Sandy Stevenson, Gary Moss, Tchee.

À Paris, une jeune Anglaise rêve de se faire un nom dans le monde du spectacle. Sujet rebattu et traité sans originalité. Numéros musicaux peu élaborés. Mise en scène sans personnalité. Cabotinage des comédiens vétérans. Jeunes interprètes sympathiques.

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Genre :

Comédie musicale

Année :

1983

Durée :

86 min.

Réalisation :

Michel Nerval

Scénario :

Martine Nerval

Photographie :

Maurice Fellous

Musique :

Alain Bashung
Jean Musy

Montage :

Robert Isnardon
Yvette Bastide

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Sandy Stevenson
Gary Moss
Tchee
Michel Galabru
Luis Rego
Henri Guybet
Robert Castel
Jacques Monod
Lucette Sahuquet
François Jousseaumé
Georges Mathieu
Alain Trécan

Une jeune Anglaise, Zoé, vit à Paris avec quelques jeunes gens qui rêvent tous de réussite dans le monde du spectacle. Elle s'éprend de Gary, danseur doté d'un certain talent, qui souffre d'une rupture conjugale. Déçue dans son amour, Zoé soigne sa peine en chantant seule dans un théâtre où répètent ses amis. Un machiniste l'entend et lui arrange une audition avec le directeur du théâtre. Un imprésario malhonnête prend en mains la carrière de la jeune femme. Zoé, maintenant connue sous le nom de Sandy, se joint à ses copains pour monter un concert rock qui obtient un grand succès.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tourné sans grands moyens, ce film traite un sujet rebattu avec un manque manifeste d'esprit d'invention. L'intrigue progresse cahin-caha et les numéros musicaux ne sont pas des plus achevés. L'ensemble apparaît finalement plus insignifiant qu'attachant tant la mise en scène est privée de personnalité. Le réalisateur plagie à l'occasion des modèles américains, tel FAME, ce qui rend encore plus évident son amateurisme. Les jeunes interprètes sont assez sympathiques mais les comédiens de métier qui les soutiennent ont tendance à cabotiner.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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