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On l'appelle Catastrophe

Fr. 1983. Comédie de Richard Balducci avec Michel Leeb, Carole Lixon, Ibrahim Seck. Mêlé bien malgré lui à un hold-up, un modeste projectionniste accumule les mésaventures et les péripéties rocambolesques. Suite bancale de sketches au rythme incertain. Quelques rares gags originaux perdus dans la pauvreté de l'ensemble. Interprétation grimaçante et artificielle.

Général
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On l'appelle Catastrophe (On l'appelle Catastrophe)

Général Général

Fr. 1983. Comédie de Richard Balducci avec Michel Leeb, Carole Lixon, Ibrahim Seck.

Mêlé bien malgré lui à un hold-up, un modeste projectionniste accumule les mésaventures et les péripéties rocambolesques. Suite bancale de sketches au rythme incertain. Quelques rares gags originaux perdus dans la pauvreté de l'ensemble. Interprétation grimaçante et artificielle.

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Antoine est projectionniste et a une petite amie, Carole, qui travaille comme caissière dans une banque. En allant la rejoindre un jour, il est malencontreusement mêlé à un hold-up et les bandits se servent de son auto pour s'enfuir. Arrêté comme complice, Antoine n'arrive pas à se disculper et doit faire de la prison. À la suite d'une méprise, il s'évade involontairement à la place d'un autre prisonnier. De nouveaux contretemps le conduisent en Afrique où il devient le conseiller du président d'un petit pays. Nommé ambassadeur en France, il a l'occasion de maîtriser un pirate de l'air sur l'avion qui le ramène au pays. Il retrouve Carole qui, pour être digne de lui, a vidé la caisse de la banque.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette comédie bancale d'un tâcheron du cinéma français a pour but de mettre en valeur un nouveau comique qui se veut un émule gaulois de Jerry Lewis. Celui-ci se meut donc de situation forcée en péripétie controuvée, avec force grimaces et gesticulations artificielles. On lui fait de surcroît jouer une scène avec un imitateur de Louis de Funès et là la mesure est comble. Tout cela progresse lourdement dans une suite de sketches au rythme incertain. Quelques rares gags originaux se perdent dans la pauvreté de l'ensemble et deux ou trois comédiens connus font de brèves apparitions pour enrichir l'affiche.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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