Le propriétaire du Lotus Club à Bangkok est un Français, Léon, ancien légionnaire. Il meurt subitement, laissant automatiquement l'entreprise à son frère Maximin, curé d'un petit village en France. La "veuve" de Léon se désole et son amant, un homme d'affaires chinois, Ping, s'offre à arranger les choses lors d'un voyage. Ping rencontre Maximin et l'engage à se rendre en Thaïlande pour y vendre un élixir de son invention. Victime de pirates de l'air, le brave curé connaît diverses aventures où sa candeur est mise à rude épreuve avant de parvenir au Lotus Club qu'il croit être un pensionnat religieux.
L’AVIS DE MEDIAFILM
La bêtise fait recette en France semble-t-il, puisque Robert Thomas a trouvé moyen de fabriquer une suite à son minable MON CURÉ CHEZ LES NUDISTES. Jadis dramaturge doté d'un certain esprit d'invention, l'auteur donne maintenant dans la vulgarité facile. En changeant d'interprète, son curé, qui était simplement naïf sous les traits de Paul Préboist, est devenu franchement idiot avec Maurice Risch dans le rôle. Les situations sont le plus souvent d'une sottise confondante, la réalisation se réduit à une banale mise en place et les effets comiques sont d'un simplisme balourd. Les interprètes cabotinent à qui mieux mieux.
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