Les Anges du mal (Chained Heat)

Name: Anges du mal, Les
Director: Paul Nicolas
Genre: Drame de moeurs
Duration: 88 min.

É.-U. 1983. Drame de moeurs de Paul Nicolas avec Linda Blair, Stella Stevens, Sybil Danning. Une jeune femme est incarcérée dans une prison où le directeur et son assistante gèrent le trafic de drogue et la prostitution. Scénario simpliste et accrocheur, d'une fausseté sociale criante. Accumulation d'effets à sensation fondés sur une violence sadique et un érotisme vulgaire. Réalisation bâclée. Talent des interprètes honteusement gaspillé.

Les Anges du mal (Chained Heat)

16 ans + (érotisme)

É.-U. 1983. Drame de moeurs de Paul Nicolas avec Linda Blair, Stella Stevens, Sybil Danning.

Une jeune femme est incarcérée dans une prison où le directeur et son assistante gèrent le trafic de drogue et la prostitution. Scénario simpliste et accrocheur, d'une fausseté sociale criante. Accumulation d'effets à sensation fondés sur une violence sadique et un érotisme vulgaire. Réalisation bâclée. Talent des interprètes honteusement gaspillé.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1983

Durée :

88 min.

Réalisation :

Paul Nicolas

Pays :

États-Unis

Distributeur :

CMA

Interprètes :

Linda Blair
Stella Stevens
Sybil Danning

Condamnée à la prison pour homicide involontaire, la jeune Carol est enfermée dans une institution où règne la corruption. Le directeur patronne en sous-main un trafic de drogues chez les prisonnières et s'accorde des plaisirs interdits avec l'une ou l'autre d'entre elles. Son assistante, Taylor, est acoquinée avec un souteneur et lui permet de faire sortir des filles pour des réceptions orgiaques. Violée par un gardien, Carol s'endurcit au contact de ses compagnes et jure d'avoir la peau de Taylor pour le meurtre d'une amie. Le directeur étant mort inopinément, Carol obtient la preuve que Taylor l'a assassiné.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Bâti sur le modèle d'un film précédent du même acabit, CONCRETE JUNGLE, cette vision accrocheuse de la vie dans une prison de femmes est d'une nullité artistique affligeante aussi bien que d'une fausseté sociale criante. Qu'il puisse y avoir des abus dans le système pénitentiaire, on en convient, mais le fait de les réunir tous en un même lieu et de les présenter avec des outrances manifestes ne relève, que d'une recherche maladive de la sensation. Tout cela apparaît d'ailleurs confus sur le plan de la conception et fort négligé sur celui de l'exécution. Plaignons les quelques acteurs de valeur égarés dans une telle aventure.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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