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La Zone neutre (The Dead Zone)

É.-U. 1983. Drame fantastique de David Cronenberg avec Christopher Walken, Brooke Adams, Martin Sheen. Après être resté cinq ans dans le coma à la suite d'un accident de la route, un enseignant se découvre doté d'un don de double vue. Adaptation prenante d'un roman de Stephen King. Récit anecdotique mais d'une intensité dramatique soutenue. Réalisation efficace. Très bonne interprétation de C. Walken.

13 ans + (violence)
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La Zone neutre (The Dead Zone)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1983. Drame fantastique de David Cronenberg avec Christopher Walken, Brooke Adams, Martin Sheen.

Après être resté cinq ans dans le coma à la suite d'un accident de la route, un enseignant se découvre doté d'un don de double vue. Adaptation prenante d'un roman de Stephen King. Récit anecdotique mais d'une intensité dramatique soutenue. Réalisation efficace. Très bonne interprétation de C. Walken.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Jeffrey Boam
D'après le roman de Stephen King
Photographie :
Musique :
Montage :
Après être resté cinq ans dans le coma à la suite d'un accident de la route, un enseignant, Johnny Smith, se découvre doté d'un don de double vue. Cela lui permet de venir en aide à un policier pour démasquer le meurtrier d'une fillette. Troublé par son pouvoir, Johnny cherche à se faire oublier, mais il en vient à croiser par hasard la route d'un politicien en qui il voit un futur président capable de déclencher une guerre nucléaire. Il décide alors d'intervenir pour empêcher la réalisation de cette vision.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec ce film, David Cronenberg, cinéaste canadien spécialisé en cinéma fantastique, accède à la production américaine. C'est aussi une des rares fois où il a travaillé sur un sujet qu'il n'a pas imaginé lui-même. Sa source est un roman d'un autre spécialiste du genre dont presque tous les livres ont été portés à l'écran. Le résultat de cette alliance de connaisseurs est pourtant quelque peu décevante. Le réalisateur restreint légèrement sa tendance aux effets outrageusement flamboyants, mais n'arrive pas à conférer une conviction suffisante aux données d'un récit plutôt anecdotique. Walken joue son rôle avec l'étrangeté voulue.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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