Remarquable

La Diagonale du fou

Name: Diagonale du fou, La
Director: Richard Dembo
Genre: Drame psychologique
Duration: 110 min.

Fr. 1983. Drame psychologique de Richard Dembo avec Michel Piccoli, Alexandre Arbatt, Leslie Caron. Deux joueurs d'échecs russes d'idéologies différentes s'affrontent pour le championnat du monde. Récit prenant. Nombreuses touches politiques et psychologiques bien amenées. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation brillante.

La Diagonale du fou (La Diagonale du fou)

Général

Fr. 1983. Drame psychologique de Richard Dembo avec Michel Piccoli, Alexandre Arbatt, Leslie Caron.

Deux joueurs d'échecs russes d'idéologies différentes s'affrontent pour le championnat du monde. Récit prenant. Nombreuses touches politiques et psychologiques bien amenées. Mise en scène fonctionnelle. Interprétation brillante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1983

Durée :

110 min.

Réalisation :

Richard Dembo

Scénario :

Richard Dembo

Photographie :

Raoul Coutard

Musique :

Gabriel Yared

Montage :

Agnès Guillemot

Pays :

France
Liechtenstein

Distributeur :

Spectrafilm

Interprètes :

Michel Piccoli
Alexandre Arbatt
Leslie Caron
Liv Ullmann
Jean-Hugues Anglade
Wojciech Pszoniak
Michel Aumont
Daniel Olbrychski
Hubert Saint-Macary
Serge Avedikian
Benoît Régent

Récompenses

Deux joueurs d'échecs s'affrontent en Suisse pour le championnat du monde. Tous deux sont russes, mais l'un des adversaires, Fromm, a fait défection à l'Ouest depuis quelques années. Son rival, Liebskind, est un homme d'âge mûr, actuel détenteur du titre de grand maître et honoré comme tel par l'État soviétique. Fougueux et inventif, Fromm cherche à désemparer Liebskind autant par ses attitudes que par ses manoeuvres tactiques. L'entourage du champion cherche de son côté des moyens pour perturber psychologiquement Fromm. Ces efforts obtiennent des résultats appréciables, mais Liebskind, malade, se voit forcé d'abandonner le tournoi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film centré sur le jeu d'échecs développe un récit prenant alimenté par des touches politiques ou psychologiques intelligemment amenées. Les rebondissements de l'intrigue apparaissent comme autant de coups bien agencés pour faire avancer une partie difficile. La mise en scène se révèle plus fonctionnelle qu'inspirée, mais l'intérêt réside surtout dans la rivalité établie entre les deux adversaires, aussi dissemblables que possible. Ces rôles sont tenus avec brio par le solide comédien qu'est Michel Piccoli (UNE ÉTRANGE AFFAIRE) et par un acteur peu connu, Alexandre Arbatt (L'OMBRE ROUGE), au jeu d'une fougue et d'une intensité captivantes.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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