La Clé (La Chiave)

Name: Clé, La
Director: Tinto Brass
Genre: Drame de moeurs
Duration: 122 min.

It. 1983. Drame de moeurs de Tinto Brass avec Frank Finlay, Stefania Sandrelli, Franco Branciaroli. Sentant son énergie sexuelle décliner, un expert en art croit la faire revivre par la jalousie et manoeuvre pour que son épouse succombe aux charmes de son futur gendre. Adaptation arbitraire d'un roman érotique japonais. Réalisation appliquée. Fausse recherche d'esthétisme. Interprétation quelque peu artificielle.

La Clé (La Chiave)

18 ans + (érotisme)

It. 1983. Drame de moeurs de Tinto Brass avec Frank Finlay, Stefania Sandrelli, Franco Branciaroli.

Sentant son énergie sexuelle décliner, un expert en art croit la faire revivre par la jalousie et manoeuvre pour que son épouse succombe aux charmes de son futur gendre. Adaptation arbitraire d'un roman érotique japonais. Réalisation appliquée. Fausse recherche d'esthétisme. Interprétation quelque peu artificielle.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1983

Durée :

122 min.

Réalisation :

Tinto Brass

Pays :

Italie

Distributeur :

Ciné 360

Interprètes :

Frank Finlay
Stefania Sandrelli
Franco Branciaroli

Considéré comme un expert en art, John Brian Rolfe vit à Venise avec son épouse italienne Teresa qui gère une pension de famille. Sentant son énergie sexuelle décliner, il croit la faire revivre par la jalousie et manoeuvre pour que Teresa succombe aux avances de son futur gendre, Laszlo. Pour y arriver, il fait en sorte que Teresa trouve la clé du tiroir où il serre le journal intime auquel il confie ses fantasmes érotiques. Teresa note à son tour ses expériences avec Laszlo dans un cahier que Rolfe lit subrepticement. Les émotions engendrées par ce double jeu ont raison de la santé du bonhomme.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le roman de Junichiro Tanizaki semble intriguer les cinéastes; c'est là la deuxième version filmée japonaise qui nous parvient, sans compter une adaptation à l'italienne signée Tinto Brass. II n'y a pas tellement de neuf dans le film de Kimata qui n'apparaît pas comme un réalisateur de première grandeur, sans être dénué de tout talent. Les arêtes de l'histoire sont assez fidèlement suivies et l'illustration insiste sur les passages érotiques. Le comportement bizarre des personnages n'est guère approfondi et l'interprétation se révèle acceptable tout au plus.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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