Gabriela

Name: Gabriela
Director: Bruno Barreto
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 102 min.

Br. 1983. Comédie de moeurs de Bruno Barreto avec Sonia Braga, Marcello Mastroianni, Antonio Cantafora. En 1925, un cafetier brésilien épouse une ravissante sauvageonne dont l'ardeur amoureuse ne résiste pas à l'usure. Satire à saveur érotique tirée du roman de Jorge Amado. Évocation sociale s'appuyant sur des stéréotypes connus. Vivacité de ton. Air égaré de M. Mastroianni.

Gabriela (Gabriela)

13 ans +

Br. 1983. Comédie de moeurs de Bruno Barreto avec Sonia Braga, Marcello Mastroianni, Antonio Cantafora.

En 1925, un cafetier brésilien épouse une ravissante sauvageonne dont l'ardeur amoureuse ne résiste pas à l'usure. Satire à saveur érotique tirée du roman de Jorge Amado. Évocation sociale s'appuyant sur des stéréotypes connus. Vivacité de ton. Air égaré de M. Mastroianni.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1983

Durée :

102 min.

Réalisation :

Bruno Barreto

Pays :

Brésil

Distributeur :

Art Films

Interprètes :

Sonia Braga
Marcello Mastroianni
Antonio Cantafora

En 1925, dans une petite ville côtière du Brésil, le cafetier Nacib engage comme cuisinière la jeune Gabriela. L'estaminet de Nacib sert de lieu de réunion aux politiciens qui se disputent le pouvoir à propos d'un projet d'aménagement portuaire. Séduit par la beauté sauvage de Gabriela, Nacib fait d'elle sa maîtresse puis son épouse; L'ardeur amoureuse de Gabriela ne résiste pas à l'usure et Nacib se découvre bientôt trompé par un de ses amis. Au lieu d'abattre son rival comme le veut la coutume locale, l'homme préfère faire annuler son mariage.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec le soutien financier de producteurs américains, Barreto est allé chercher le sujet d'une autre satire de moeurs à saveur erotique chez le romancier Jorge Amado qui lui avait déjà fourni le thème de Dona Flor et ses deux maris. L'histoire croustillante qu'il raconte cette fois se situe dans une évocation plus large des moeurs politiques et des relations sentimentales en usage au Brésil dans les années 20. La satire sociale ne va pas très loin et s'appuie sur des stéréotypes connus alors qu'une grande partie du film est consacrée à des ébats erotiques. Malgré une certaine vivacité dans le ton, l'ensemble se révèle donc plutôt décevant. Mastroianni a l'air égaré dans le contexte.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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