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Danse mortelle (Murderock - Uccide a passo di danza)

It. 1983. Drame policier de Lucio Fulci avec Olga Karlatos, Ray Lovelock, Cosimo Cinieri. Une professeur de danse enquête sur la mort de deux de ses élèves qui participaient à une compétition en vue d'intégrer un spectacle de Broadway. Intrigue convenue riche en clichés. Plusieurs emprunts à FLASHDANCE. Photographie soignée. Réalisation peu inventive. Interprétation quelconque.

13 ans + (violence, érotisme)
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Danse mortelle (Murderock - Uccide a passo di danza)

13 ans + (violence, érotisme) 13 ans + (violence, érotisme)

It. 1983. Drame policier de Lucio Fulci avec Olga Karlatos, Ray Lovelock, Cosimo Cinieri.

Une professeur de danse enquête sur la mort de deux de ses élèves qui participaient à une compétition en vue d'intégrer un spectacle de Broadway. Intrigue convenue riche en clichés. Plusieurs emprunts à FLASHDANCE. Photographie soignée. Réalisation peu inventive. Interprétation quelconque.

Les producteurs d'un spectacle de Broadway cherchent du sang neuf parmi les élèves d'une école de danse. Une compétition intense s'établit entre les jeunes, car trois d'entre eux seulement seront choisis. On trouve la danseuse la plus prometteuse assassinée et ce meurtre est bientôt suivi d'un autre. Candice, une instructrice de l'école, fait un curieux rêve où elle est tuée, de la même façon que ses élèves, par un inconnu. Peu de temps après, elle fait la rencontre d'un acteur qui ressemble étrangement à l'homme de son cauchemar. Elle croit qu'il peut être l'assassin et fait part de ses soupçons à la police.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Spécialiste des plaies béantes et des effets cruels mis en valeur dans des histoires de zombies, Lucio Fulci offre cette fois un thriller psychologique. S'il joue assez adroitement avec l'image, le réalisateur n'est pas très inventif dans la conduite d'un suspense et son traitement contient une bonne part de clichés. Il emprunte par ailleurs des effets piquants à des films comme FLASHDANCE pour distraire par moments le spectateur et lui faire oublier que la tension n'est pas très élevée. Tout cela apparaît des plus artificiels et l'interprétation n'arrange rien.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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