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Amityville 3: La Maison du diable (Amityville 3-D)

É.-U. 1983. Drame d'horreur de Richard Fleischer avec Tony Roberts, Tess Harper, Candy Clark. Refusant de croire à l'intervention de forces du mal, un journaliste s'obstine à vivre dans une demeure hantée. Histoire abracadabrante ponctuée d'effets faciles. Mise en scène sans conviction. Interprétation superficielle.

13 ans + (horreur)
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Amityville 3: La Maison du diable (Amityville 3-D)

13 ans + (horreur) 13 ans + (horreur)

É.-U. 1983. Drame d'horreur de Richard Fleischer avec Tony Roberts, Tess Harper, Candy Clark.

Refusant de croire à l'intervention de forces du mal, un journaliste s'obstine à vivre dans une demeure hantée. Histoire abracadabrante ponctuée d'effets faciles. Mise en scène sans conviction. Interprétation superficielle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Orion
Après avoir démasqué de faux spirites installés dans une maison présumée hantée, le journaliste John Baxter décide d'acheter la demeure pour y poursuivre des travaux de recherche. Sa collaboratrice Melanie ne tarde pas à y déceler des phénomènes curieux et meurt tragiquement dans un accident bizarre. Baxter refuse pourtant de croire à une intervention surnaturelle jusqu'à ce que sa fille adolescente se noie près de la maison. Il fait alors appel à une équipe de chercheurs dont les activités déclenchent les manifestations hostiles d'un pouvoir maléfique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si les deux premiers épisodes de la série AMITYVILLE prétendaient puiser dans des incidents réels la source de leur inspiration fantastique, le troisième bascule dans la fiction pure en cherchant à renchérir sur ses prédécesseurs dans l'illustration de phénomènes horrifiques. Il en résulte une histoire abracadabrante entrelardée d'effets faciles, sans justification valable sur le plan de la logique narrative. On s'étonne qu'un cinéaste comme Richard Fleischer se soit laissé entraîner dans de telles fariboles; sa mise en scène manque d'ailleurs de conviction et l'interprétation est artificielle comme le reste. Le procédé 3-D n'est utilisé à plein que dans les dernières scènes.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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