Pour venger la mort de sa fille victime de voyous, un architecte de Los Angeles se transforme en justicier. Scénario banal. Climat de violence amplifié. Mise en images négligée. Interprétation à l'avenant.
Cette suite de DEATH WISH amplifie encore le climat de violence de l'original, si cela est possible. Par ailleurs, la mise en images apparaît beaucoup plus négligée, ce qui surprend de la part d'un technicien chevronné comme Michael Winner. Celui-ci semble s'être contenté de fournir une copie carbone de son film antérieur pour satisfaire à une commande. Il n'y a là aucune trace d'originalité ni dans les situations, ni dans les personnages. Charles Bronson joue cela comme s'il avait hâte d'en être débarrassé.
Texte : Robert-Claude Bérubé